
come back...
c'est le retour... en douceur, tout lentement...
Lila lila
De martin Suter, auteur suisse, écrivant en allemand, traduit en français en 2004, la même année que sa parution en langue allemande.
Histoire d’un jeune employé de bar qui découvre le manuscrit d’un roman dans le tiroir d’une table achetée dans une brocante
Il s’approprie le texte, pour pouvoir mieux se faire aimer de la jeune femme qu’il voit souvent dans le bar, en compagnie d’une troupe de jeunes loups de la littérature.
En lui disant qu’il a un manuscrit, elle le pousse à l’éditer.
Toute l’intrigue réside dans le mensonge et jusqu’où peut aller l’absence de volonté d’affronter la supercherie lorsqu’elle prend des proportions inquiétantes.
De la même manière, Suter nous fait entrer dans les codes et rouages du monde littéraire, ses obligations et devoirs, son milieu « sclérosé ».
Pour vous allécher :
David Kern est serveur dans un bar branché. N’ayant pas de gros moyens financiers, il a l’habitude d’acheter ses meubles à bas prix chez un brocanteur. Un jour, il trouve dans le tiroir d’une vieille table le manuscrit d’un roman qu’un auteur aurait oublié là avant de se suicider. Peu après, David rencontre Marie, cliente du bar où il travaille et passionnée de littérature. Il en tombe follement amoureux, et dans l’espoir de l’émouvoir lui donne à lire le manuscrit qu’il a trouvé en se faisant passer pour son auteur. Marie est bouleversée par cette lecture. Elle trouve le livre si formidable qu’elle le fait parvenir à une maison d’édition qui décide de le publier. Il devient rapidement un best-seller…
Mis je vous en ai déjà trop dit.
Une lecture d’été que j’ai particulièrement appréciée, un coup de cœur pour un auteur que je ne connaissais absolument pas, un auteur qui a su susciter ma curiosité et qui va gagner des droits d’auteur car j’ai déjà acheté un autre roman, que je vais lire bientôt dès que la lecture de « suite française » d’Irène Némirowsky sera achevée.
Et je ne vous ai pas parlé de précédentes lectures captivantes, comme la biographie de Henri Cartier-Bresson, créée sous la plume de Pierre Assouline, ni même ne vous ai conté le « rêve de Botticelli » de Sophie Chauveau…., de la même manière je ne vous ai pas fait part de la lecture intéressante même si elle fut largement critiquée pour ses qualités littéraires, « des princes du sang » de Gilbert Schlogel, ni même n’ai-je évoqué « la part de l’autre » de Eric Emmanuel Schmitt, légèrement décevant… Bref, je ne vous livrerai pas les noms des flops de la saison, mon échec devant David Lodge, impossible de m’attirer avec « l’auteur, l’auteur », ou encore la mise de côté de « docteur Faustus » de Thomas Mann… lecture repoussée …
Enfin, des légèretés de vacances, je me suis délectée du dernier Sophie Kinsella et de « son accroc du shopping a une sœur », du délire rose bonbon, loin de la couleur fétiche de Barbara Cartland et une héroïne aussi disjonctée que Bridget Jones… et puis un polar où la scène se déroule dans un univers glauque d’un campus universitaire, son dortoir et ses surveillants , des meurtres mystérieux et des tentatives d’assassinat… « Une irrésistible envie de sucré de Meg Cabot, propose un titre et une première de couverture extrêmement éloignés du contenu !!!
Dans l’ordre des préférences, mon coup de cœur de ces derniers mois demeure la découverte récente de Martin Suter, puis la bio fort instructive de Cartier-Bresson… ; et l’intéressante lecture en cours de « suite française » clôturera certainement mon trio estival.
Dans l’attente de la rentrée littéraire, inaugurée lors de la manifestation organisée pour la 12ème année consécutive par Gonzague Saint Bris, dans la commune de Chanceaux-près-Loches, en ce week-end du 25 août prochain, je me suis procurée la liste des participants, écrivains de renom, people invités pour le spectacle… un bonheur de déambuler dans cette forêt domaniale si élégante, un événement qui ne se déroulera pas sans mon passage au milieu de cette foule si compacte l’an dernier… au cours de laquelle, Francis Huster m’a frôlé sans que je ne le reconnaisse, et où Roger Hanin trônât une année dans un gros fauteuil sous un arbre séculaire, où jean-marie Rouart, jean Teulé, et autres célébrités, côtoient des nikos Aliagas, Poivre d’arvor, Besson Philippe, Piem, Menie Grégoire, des auteurs de tout genre, de tout style, de toute notoriété… politique, historique, sociologique, polar, humoriste, romans, récits…. J’aime, j’aime, j’aime !!!
Une allée réservée aux bouquinistes de tous poils, des animations littéraires… et des ventes de livres assurées… des auteurs bien plus accessibles qu'au salon du livre de Paris, dans une ambiance bien plus détendue, conviviale, c'est ça le jardin de la France, tout un art ( :-) ).
Et grâce à mon marque page plus cher à mon cœur que prestigieux qui accompagne mes lectures, je ne perd pas le fil de mes lectures !! et surtout avec Martin Suter.
De martin Suter, auteur suisse, écrivant en allemand, traduit en français en 2004, la même année que sa parution en langue allemande.
Histoire d’un jeune employé de bar qui découvre le manuscrit d’un roman dans le tiroir d’une table achetée dans une brocante
Il s’approprie le texte, pour pouvoir mieux se faire aimer de la jeune femme qu’il voit souvent dans le bar, en compagnie d’une troupe de jeunes loups de la littérature.
En lui disant qu’il a un manuscrit, elle le pousse à l’éditer.
Toute l’intrigue réside dans le mensonge et jusqu’où peut aller l’absence de volonté d’affronter la supercherie lorsqu’elle prend des proportions inquiétantes.
De la même manière, Suter nous fait entrer dans les codes et rouages du monde littéraire, ses obligations et devoirs, son milieu « sclérosé ».
Pour vous allécher :
David Kern est serveur dans un bar branché. N’ayant pas de gros moyens financiers, il a l’habitude d’acheter ses meubles à bas prix chez un brocanteur. Un jour, il trouve dans le tiroir d’une vieille table le manuscrit d’un roman qu’un auteur aurait oublié là avant de se suicider. Peu après, David rencontre Marie, cliente du bar où il travaille et passionnée de littérature. Il en tombe follement amoureux, et dans l’espoir de l’émouvoir lui donne à lire le manuscrit qu’il a trouvé en se faisant passer pour son auteur. Marie est bouleversée par cette lecture. Elle trouve le livre si formidable qu’elle le fait parvenir à une maison d’édition qui décide de le publier. Il devient rapidement un best-seller…
Mis je vous en ai déjà trop dit.
Une lecture d’été que j’ai particulièrement appréciée, un coup de cœur pour un auteur que je ne connaissais absolument pas, un auteur qui a su susciter ma curiosité et qui va gagner des droits d’auteur car j’ai déjà acheté un autre roman, que je vais lire bientôt dès que la lecture de « suite française » d’Irène Némirowsky sera achevée.
Et je ne vous ai pas parlé de précédentes lectures captivantes, comme la biographie de Henri Cartier-Bresson, créée sous la plume de Pierre Assouline, ni même ne vous ai conté le « rêve de Botticelli » de Sophie Chauveau…., de la même manière je ne vous ai pas fait part de la lecture intéressante même si elle fut largement critiquée pour ses qualités littéraires, « des princes du sang » de Gilbert Schlogel, ni même n’ai-je évoqué « la part de l’autre » de Eric Emmanuel Schmitt, légèrement décevant… Bref, je ne vous livrerai pas les noms des flops de la saison, mon échec devant David Lodge, impossible de m’attirer avec « l’auteur, l’auteur », ou encore la mise de côté de « docteur Faustus » de Thomas Mann… lecture repoussée …
Enfin, des légèretés de vacances, je me suis délectée du dernier Sophie Kinsella et de « son accroc du shopping a une sœur », du délire rose bonbon, loin de la couleur fétiche de Barbara Cartland et une héroïne aussi disjonctée que Bridget Jones… et puis un polar où la scène se déroule dans un univers glauque d’un campus universitaire, son dortoir et ses surveillants , des meurtres mystérieux et des tentatives d’assassinat… « Une irrésistible envie de sucré de Meg Cabot, propose un titre et une première de couverture extrêmement éloignés du contenu !!!
Dans l’ordre des préférences, mon coup de cœur de ces derniers mois demeure la découverte récente de Martin Suter, puis la bio fort instructive de Cartier-Bresson… ; et l’intéressante lecture en cours de « suite française » clôturera certainement mon trio estival.
Dans l’attente de la rentrée littéraire, inaugurée lors de la manifestation organisée pour la 12ème année consécutive par Gonzague Saint Bris, dans la commune de Chanceaux-près-Loches, en ce week-end du 25 août prochain, je me suis procurée la liste des participants, écrivains de renom, people invités pour le spectacle… un bonheur de déambuler dans cette forêt domaniale si élégante, un événement qui ne se déroulera pas sans mon passage au milieu de cette foule si compacte l’an dernier… au cours de laquelle, Francis Huster m’a frôlé sans que je ne le reconnaisse, et où Roger Hanin trônât une année dans un gros fauteuil sous un arbre séculaire, où jean-marie Rouart, jean Teulé, et autres célébrités, côtoient des nikos Aliagas, Poivre d’arvor, Besson Philippe, Piem, Menie Grégoire, des auteurs de tout genre, de tout style, de toute notoriété… politique, historique, sociologique, polar, humoriste, romans, récits…. J’aime, j’aime, j’aime !!!
Une allée réservée aux bouquinistes de tous poils, des animations littéraires… et des ventes de livres assurées… des auteurs bien plus accessibles qu'au salon du livre de Paris, dans une ambiance bien plus détendue, conviviale, c'est ça le jardin de la France, tout un art ( :-) ).
Et grâce à mon marque page plus cher à mon cœur que prestigieux qui accompagne mes lectures, je ne perd pas le fil de mes lectures !! et surtout avec Martin Suter.
Commentaires
http://passouline.blog.lemonde.fr/
(et en plus on doit, je dis bien "on doit", pouvoir le lire au taf, ou ce qu'il reste du taf puisque les néo-cons français ont tout claqué en trois mois)
ce qui me gène chez lui c'est parfois sa faconde sur tout, il a toujours un avis sur tout, et ça me saoûle plus qu'un bon petit Cour-Cheverny tiens!!!!le cépage romorantin et la cuvée François 1er... ou un bon touraine Francois 1er(allez Cki révise ta lecon: quel assemblage????)ou un p'tit rosé :-))))
cot, gamay, caberney = Cuvée françois 1er :-)