Accéder au contenu principal

Articles

Affichage des articles du mai, 2009

du rock en stock

Une fois n'est pas coutume, le grand Hall des expositions de Tours accueillait vendredi dernier une star internationale de la chanson , j'ai nommé Lenny Kravitz. Munie de mon pass, depuis plusieurs mois, cet événement attendu me permit d'apprécier un show aux accents de rock star! Première partie oblige, un certain Chris Cornell devait assurer, pour chauffer la salle. Chose promise chose due, celui qui fut l'interprète de la B.O. de Casino Royale (l'avant dernier James BOND), avec son titre "You know my name", est apparu sur scène, cheveux longs, rockeur , assurément, avec des tonalités qui déménagent devant une salle plutôt tiède, voire carrément coincée... Que n'ai-je pesté contre de jeunes âmes, campées sur leurs grandes jambes, bras croisés, impassibles telles des statuettes de marbre devant un écran de tv... Paraît que les Tourangeaux sont snobs et froids, n'en déplaise à la légendaire impression des étrangers du coin, la vérité criante fut un...

feuilles aux arbres, aux bonnes feuilles des livres

Quelques temps sans faire jouer les lettres sur le clavier pour alimenter le blog! Les mots virevoltaient ailleurs que devant un écran de Mac... et forcément le manque d’entraînement cause un manque de dextérité pour aligner de manière fluide le post qui suit. du retard accumulé en termes d’impressions données par des lectures ces semaines passées... Retenu parmi les derniers livres ouverts: Arto Paasilinna, auteur de “Prisonniers du Paradis”, un finlandais, au roman croustillant dont j’ai beaucoup apprécié la rythmique et le thème. Le synopsis donne à peu près ça: un avion fait un amerrissage forcé tout près d’une île. Ou comment cohabitent hommes et femmes dans une jungle, Robinson et Vendredi ou comment une micro société se reconstitue, ou comment une organisation est créée avec des priorités qui ne sont pas les mêmes pour tous, comment une situation se gère dans l’urgence et comment elle peut devenir pérenne. Ou comment certains sont pressés de retrouver leur monde, la “civilisatio...