
L’approche de Noël crée des comportements variés: effervescence et scintillement, ou la tête dans le sac, c’est selon.
Tous les ans, le mois de décembre procure des sensations particulières:
au moment de l’année où les jours les plus courts devraient nous plonger dans la noirceur de l’hiver, les préparatifs des fêtes apportent la lumière.
C’est toujours assez frénétiquement que je sors des cartons les multiples décorations qui vont trôner chez moi durant un mois.
La même agitation intérieure se manifeste devant les pendeloques exposées à la vente dans les magasins de décoration: entre les petits sujets en bois, les petits rennes, les coeurs de Savoie, les bougies, les couleurs chatoyantes, le choix fait virevolter mes yeux à chaque fois.
Aucune explication à cette scène de réjouissance, le jour où je décide de faire mon sapin et la décoration autour. Cet état perdure au fil des années. De l’enfance durant laquelle cette magie opérait, demeure cette expression de joie simple et bonhomme? Peu importe, le plaisir est là, et je n’ai pas l’intention de m’en priver!
L’ambiance feutrée donnée par l’éclairage intime des photophores et autres bougies , crée l’esprit de Noël autour des guirlandes clignotantes ornant le sapin, tandis qu’au dehors les villes arborent leurs habits de lumière à qui veut pointer son nez dehors.
Ce plaisir se conjugue avec le plaisir d’offrir ce qui procurera du bonheur à ceux et celles à l’ouverture des paquets. Choisir le papier qui va bien, le ruban qui s’accommode le mieux, et les petites touches personnelles pour habiller les cadeaux, se révèlent aussi des déclencheur de sensations agréables... allez savoir... mieux vaut cela que d’avoir envie de trucider son voisin, non?
Quoi de plus agréable également d’éveiller les sens, au plaisir gustatif, en quête de plats à élaborer pour fêter dignement la fin de l’année.
Bref, c’était sans compter la neige qui est venue de bonne heure dans cette plaine bien plate, et qui a transformé, avec un peu d’imagination, mon home en petit chalet planté sur la pente d’une montagne, au milieu des sapins.....
Tous les ans, le mois de décembre procure des sensations particulières:
au moment de l’année où les jours les plus courts devraient nous plonger dans la noirceur de l’hiver, les préparatifs des fêtes apportent la lumière.
C’est toujours assez frénétiquement que je sors des cartons les multiples décorations qui vont trôner chez moi durant un mois.
La même agitation intérieure se manifeste devant les pendeloques exposées à la vente dans les magasins de décoration: entre les petits sujets en bois, les petits rennes, les coeurs de Savoie, les bougies, les couleurs chatoyantes, le choix fait virevolter mes yeux à chaque fois.
Aucune explication à cette scène de réjouissance, le jour où je décide de faire mon sapin et la décoration autour. Cet état perdure au fil des années. De l’enfance durant laquelle cette magie opérait, demeure cette expression de joie simple et bonhomme? Peu importe, le plaisir est là, et je n’ai pas l’intention de m’en priver!
L’ambiance feutrée donnée par l’éclairage intime des photophores et autres bougies , crée l’esprit de Noël autour des guirlandes clignotantes ornant le sapin, tandis qu’au dehors les villes arborent leurs habits de lumière à qui veut pointer son nez dehors.
Ce plaisir se conjugue avec le plaisir d’offrir ce qui procurera du bonheur à ceux et celles à l’ouverture des paquets. Choisir le papier qui va bien, le ruban qui s’accommode le mieux, et les petites touches personnelles pour habiller les cadeaux, se révèlent aussi des déclencheur de sensations agréables... allez savoir... mieux vaut cela que d’avoir envie de trucider son voisin, non?
Quoi de plus agréable également d’éveiller les sens, au plaisir gustatif, en quête de plats à élaborer pour fêter dignement la fin de l’année.
Bref, c’était sans compter la neige qui est venue de bonne heure dans cette plaine bien plate, et qui a transformé, avec un peu d’imagination, mon home en petit chalet planté sur la pente d’une montagne, au milieu des sapins.....
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