
Entre deux tours, profitons de notre liberté d’expression, avant son éventuelle abolition, pour présenter le nouvel album de Stephan Eicher, Eldorado. Une bouffée d’oxygène, dans cette atmosphère lourde !
Une pochette sobre, livrée avec le cd et un dvd qui reprend les éléments des podcasts délivrés sur le site officiel avec quelques inédits.
Une belle aventure née d’un nouveau voyage du côté cette fois du grand Ouest américain nord et sud, l’helvète a subtilement mêlé folk, jazz et sa touche personnelle pour délivrer à la date du 16 avril son nouvel album composé de 11 titres, dont 7 en français, 3 en dialecte bernois et 1 en anglais. Un album tout en rondeur, en douceur, pour un homme qui dit avoir volontairement soustrait les sons trop forts. De la substantifique moelle musicale, l’essentiel est sorti : une galette somptueuse.
D’aucuns emploieraient la formule à la mode chez les présentateurs médiatico-calamiteux du moment : « c’est une pépite » !
A n’en pas douter la mélodie et le savant mélange des instruments sont les ingrédients de la réussite : « Confettis », une bombe, « pas déplu » (musique et paroles de Djian) de la folk entraînante, de la mélodie avec « charly », une balade avec « solitaires », un texte de qualité avec « voyages », du typique avec l’écrivain suisse Martin Sutter « Weiss nid was es isch » et une belle ode (de mickael Furnon) avec « dimanche en décembre », sans oublier la ryhmique « Eldorado ».
Un mélange de genre et la réunion de personnalités diverses: la brève apparition de Toby Dammit, la participation de Raphaël qui a prêté sa guitare et sa voix pour rendez-vous (auteur de surcroît des paroles et musique), présent aussi dans les chœurs d’eldorado, la participation d’un admirateur, mickael Furnon et les chœurs de Chris Stills pour confettis…
Un album acoustique, des nouvelles sonorités, du banjo, de la clarinette, de l’harmonica, du violon, guitares et autres instruments, c’est un délice d’écouter ces nouveaux morceaux sur des airs un peu jazzy.
Comme il le souhaitait, les morceaux sont parfois tendres, mélancoliques, presque susurrés, c’est onctueux comme de la mousse au chocolat fondant sous la langue. Sous les papilles extasiées, la musicalité nous transporte jusqu’à l’eldorado tant recherché !
Certains morceaux nous portent dans un imaginaire feutré, une atmosphère de cuir, de cigares, de cognac et le jazzman du piano bar qui babille derrière son micro.
Une belle musicalité qui n’est pas sans rappeler les riches heures de l’helvète, des ressemblances avec l’album « My Place », grâce à la magie de l’acoustique et des sons originaux employés.
Prière de ne pas offenser mon absence d’objectivité.
Tous les goûts sont dans la nature et je préfère même ne pas sombrer parfois dans le formatage des choix musicaux.
Pour son grand retour dans la maison Barclay, la promotion, de rigueur, impose une présence un peu partout dans les médias : radio(RTL2, France Inter…), TV (taratata…), presse écrite (Paris Match, Express…).
Prochain rendez-vous au Bataclan le 31 mai 2007 !
Ps : autres coups de cœur musicaux du moment, Babet (chœur et violon dans le groupe Dyonisos) vient de sortir son premier album solo, qui elle aussi nous emmène en « voyage », premier morceau d’une esthétique pochette en trytique, avec un cd acoustique joint, c’est mélodique, frais, novateur.
Dans un autre domaine et plus rock, Eiffel (pas la Tour) avec Tandoori( sans mangue en apéro, promis j’ai pas vomi- comprenne qui pourra) et Matmatah en « cerise » sur le gâteau.
Allez bon vent sur les notes de musique de la vie.
Une pochette sobre, livrée avec le cd et un dvd qui reprend les éléments des podcasts délivrés sur le site officiel avec quelques inédits.
Une belle aventure née d’un nouveau voyage du côté cette fois du grand Ouest américain nord et sud, l’helvète a subtilement mêlé folk, jazz et sa touche personnelle pour délivrer à la date du 16 avril son nouvel album composé de 11 titres, dont 7 en français, 3 en dialecte bernois et 1 en anglais. Un album tout en rondeur, en douceur, pour un homme qui dit avoir volontairement soustrait les sons trop forts. De la substantifique moelle musicale, l’essentiel est sorti : une galette somptueuse.
D’aucuns emploieraient la formule à la mode chez les présentateurs médiatico-calamiteux du moment : « c’est une pépite » !
A n’en pas douter la mélodie et le savant mélange des instruments sont les ingrédients de la réussite : « Confettis », une bombe, « pas déplu » (musique et paroles de Djian) de la folk entraînante, de la mélodie avec « charly », une balade avec « solitaires », un texte de qualité avec « voyages », du typique avec l’écrivain suisse Martin Sutter « Weiss nid was es isch » et une belle ode (de mickael Furnon) avec « dimanche en décembre », sans oublier la ryhmique « Eldorado ».
Un mélange de genre et la réunion de personnalités diverses: la brève apparition de Toby Dammit, la participation de Raphaël qui a prêté sa guitare et sa voix pour rendez-vous (auteur de surcroît des paroles et musique), présent aussi dans les chœurs d’eldorado, la participation d’un admirateur, mickael Furnon et les chœurs de Chris Stills pour confettis…
Un album acoustique, des nouvelles sonorités, du banjo, de la clarinette, de l’harmonica, du violon, guitares et autres instruments, c’est un délice d’écouter ces nouveaux morceaux sur des airs un peu jazzy.
Comme il le souhaitait, les morceaux sont parfois tendres, mélancoliques, presque susurrés, c’est onctueux comme de la mousse au chocolat fondant sous la langue. Sous les papilles extasiées, la musicalité nous transporte jusqu’à l’eldorado tant recherché !
Certains morceaux nous portent dans un imaginaire feutré, une atmosphère de cuir, de cigares, de cognac et le jazzman du piano bar qui babille derrière son micro.
Une belle musicalité qui n’est pas sans rappeler les riches heures de l’helvète, des ressemblances avec l’album « My Place », grâce à la magie de l’acoustique et des sons originaux employés.
Prière de ne pas offenser mon absence d’objectivité.
Tous les goûts sont dans la nature et je préfère même ne pas sombrer parfois dans le formatage des choix musicaux.
Pour son grand retour dans la maison Barclay, la promotion, de rigueur, impose une présence un peu partout dans les médias : radio(RTL2, France Inter…), TV (taratata…), presse écrite (Paris Match, Express…).
Prochain rendez-vous au Bataclan le 31 mai 2007 !
Ps : autres coups de cœur musicaux du moment, Babet (chœur et violon dans le groupe Dyonisos) vient de sortir son premier album solo, qui elle aussi nous emmène en « voyage », premier morceau d’une esthétique pochette en trytique, avec un cd acoustique joint, c’est mélodique, frais, novateur.
Dans un autre domaine et plus rock, Eiffel (pas la Tour) avec Tandoori( sans mangue en apéro, promis j’ai pas vomi- comprenne qui pourra) et Matmatah en « cerise » sur le gâteau.
Allez bon vent sur les notes de musique de la vie.
Commentaires
Vive le gerbi-mangue... :-)))
Ok je signe en Anonyme, peu de personnes peuvent comprendre ces allusions très complexes qui n'ont aucun sens sans contexte, ce qui t'a valu ton surnom de Miss Vomi...
Mais bon, étant donnée que je suis la seule à m'acharner sur ce chatoyant espace de détente et de lecture Ô combien instructive, je m'octroie le droit de marquer uniquement ce qu'il me plait :-))
Bref, revenons à nos moutons, alors comme ça paraît que t'aimes bien Stéphan Eicher toi, ah bon, connais pas :-)
Certains disent même, t'as acheté ce CD, et pourtant il "eicher", vilain jeu de mots facile que les non connaisseurs se plaisent à clamer haut et fort, sans doute par pure jalousie envers ce chanteur si talentueux qui vient de nous offrir après plusieurs années d'impatience un album d'exception !
Faut croire, comme le dit si bien l'adage, qu'avec l'âge on se bonifie, n'est-ce pas !! Et bien c'est réussi pour notre p'tit suisse...
"Si on te demande où je suis, Dis que tu ne le sais pas"...
Merci le KKKKKK de participer activement aux commentaires, je lui décerne une mention spéciale : louanges:))))