Ma nouvelle vie en bord de Loire

Mais dans quel monde vit-on ? Franchement ent’4 yeux ? Le panurge, il a 60 millions de laineux, le rafiot tangue… L’arche de Noé s’emplit de conneries. Et je fais quoi au milieu de tout ça ? Je végète M’sieurs dames tant et si bien que j’ai oublié de me racheter un zoli stylo pour gratter ma plume noire sur mon carnet de bord ! Aïe l’encre se raréfie… Ben non pourtant, j’ai pas fumé la moquette, et pour cause mon sol est recouvert de gerflex ; la bonne blague… En revanche ce sont mes lectures sans doute, entre 99 francs et la « face cachée de la lune » de Martin Suter… et puis j’aime de plus en plus Air, raté le concert à Versailles, manqué la prestation dans la cour du château de Blois, tant pis, je me rafraîchis la tête sur ma chaîne ou mon super baladeur Ipod, avant mon incompressible envie de voir débarquer un mac book pour vous écrire !! Sans virus, sans pare-feu, plus de formatage, le pied quoi, merci la pomme, je vais te croquer, mais avant je ferai un tour à ton expo samedi gra...

De nos générations post-modernes, tous nés après les grandes guerres, après l’indépendance des anciennes colonies françaises… Quel destin commun Quel idéal commun à défendre Du plaisir futile Un art consommé du consumérisme De la légèreté Du stress Dans la plus grande indifférence Dans la sacro-sainte individualité Prônée Et avilissante Mollesse ou paresse Fin de nos idéaux Vie facile de jeunesse sans souci ? Des soucis analysés De grands maux de notre société sagement disséqués par nos grands spécialistes avertis et avisés… Et cependant le bien-être apparent ressemble à une douce caresse, art de l’illusion ou réalité. A qui le droit de nous voiler la face par des artifices ? Et pendant que d’aucuns festoient, boivent, achètent, jettent, rachètent, d’autres crèvent de faim, d’envie, s’« esclavagisent » pour quelques kopek pour survivre dans la jungle capitaliste. Récurrence de l’inégalité parmi les hommes… Le temps passe, l’humanité se modernise, mais le fond de l’homme ?

Dans le monde de la légèreté bien lourde... Charles Bukowski a dit: "le capitalisme a survécu au communisme...il ne reste plus qu'à se dévorer lui-même"... "D'un grand malheur commun naît une idée de pacotille." "Les grands leitmotiv unissent les esprits,pour le meilleur et pour le pire". auteur inconnu... ou plutôt cherchez bien! Bon mais revenons à nos moutons: Vu mon titre bien inspiré, de quoi vous parler, c'est dans l'actu cinoche... en plus!!! Frédéric Beigbeder écrit 99 francs, roman, sorti aux éditions Grasset en 2000. Fric, sexe, drogue et pub sont les quatre termes qui résument le mieux la tendance de ce livre. Beigbeder est né à Neuilly sur Seine en 1965 et a fait carrière dans la publicité, pour devenir critique littéraire et se lancer dans la littérature pour lui-même. Son roman présente un homme, Octave, qui doit concevoir des « titres » publicitaires, des projets pour de grandes campagnes publicitaires, à grands renforts de g...

Irene nemirovski Parution en 2004, de « Suite française », dont Irène Némirovski est l’auteur, née le 03 février 1903, à Kiev, de parents juifs . Son père Léon Némirovski a fait carrière dans la banque et est devenu l’un des banquiers les plus fortunés de Russie. Irène fut vite mise entre les mains d’une gouvernante, qui lui apprit très jeune le français. Irène parlait aussi bien le russe, le polonais, l’anglais, le basque et le finlandais et comprenait le yiddish. Sa mère, Fanny, ne s’occupa pas de sa fille, née juste pour complaire au riche époux. Une indifférence exemplaire. Dans sa grande solitude affective, Irène se réfugia très jeune dans l’écriture. A la mort de son institutrice, l’année de ses 14 ans, Irène commença ainsi à écrire. Tous les étés, la famille, menant le train de la bourgeoisie aisée,se rendait soit au pays basque, soit sur la côte d’Azur. Puis en 1918, la tête de son père est mise à prix par les Bolchevick ; ils fuient sur Moscou, puis la Finlande. En juillet 191...

Et oui, l'objectif pointé sans se cacher... a vu naître d'un clic une image de Mathilda May Actu: un livre "personne ne le saura jamais" et dans le film "la fille coupée en deux" de chabrol clap de fin

Finis la farniente, les coups de soleil, l'anisette , les cigales, les espadrilles...le calme sur les routes parisiennes... Rentrée oblige, vive les cahiers à petits carreaux, les stylos neufs, la découverte de nouveaux "camarades"... que sais-je encore l'augmentation du prix de la baguette pour des raisons pseudo économiques, bonjour la rentrée politique de nos virtuoses des grands débats houleux mais sans véritable fond... Bon ok, la fin de l'été c'est depuis début mai, toute coïncidence suspecte ne me viendrait absolument pas à l'esprit! Et puis, c'est la rentrée littéraire, si si je vous assure qu'elle existe, elle s'est déroulée fin août, réunissant professionnels de l'écriture et jeunes pousses, flirtant avec les people qui essaient de gratter leur plume dans une encre bien noire et bien fluide! Entre ténors de la littérature, et dandys détendus sous les feuillages des arbres centenaires, Gonzague St Bris, l'initiateur de ce 12ème...