Je vous disais que j’appréciais particulièrement, l’auteur Martin Suter.
Aussi, me suis-je lancée dans la lecture de « un ami parfait » : un fondant au chocolat, une précision d’horloger.
Martin Suter dissèque le quotidien d’un amnésique.
Le personnage central, Fabio Rossi est un jeune journaliste, qui, suite à un accident, a perdu la mémoire des cinquante derniers jours de sa vie.
Il ne se souvient absolument de rien et c’est en questionnant son entourage qu’il parvient graduellement à comprendre qui il était et ce qu’il faisait ces cinquante derniers jours.
Le journal « Libération » a dit de cet ouvrage : « Suter continue d’explorer les arcanes de la mémoire, tissant ingénieusement intrigue policière et suspense psychologique ».
Ce livre est considéré comme un polar, il faut bien remarquer, au départ, qu’on est assez loin du cliché du polar tel qu’on se l’imagine, d’ailleurs dans les rayonnages en librairie, vous ne le rencontrerez pas dans cette catégorie. De surcroît, il n’a pas la couverture sombre qui caractérise le livre policier.
Cherchez plutôt dans les auteurs étrangers de langue allemande, et vous aurez des chances de parvenir à vos fins.
Cet ami parfait est une construction aboutie sur la quête des souvenirs. Pensez que ce héros a changé de petite amie dans l’intervalle des cinquante jours et qu'à son réveil à l'hôpital, il ne comprend pas pourquoi son ex ne vient pas le voir, un nouveau visage, inconnu, sa nouvelle amie, celle chez qui il s'installe en sortant de l'hôpital; lui ne sait qu'une chose, il aime son ex ! Cette dernière s’est mise en ménage avec son meilleur ami et Fabio l'ignore en sortant de l’hôpital, il le découvre par lui-même, personne n'ose le lui dire brutalement…
Il ne se souvient pas plus de l’article sur lequel il bossait.
Il rame alors quotidiennement pour récolter des indices et reconstituer la trame de sa vie, de ces cinquante journées cruciales …
Mais en dire plus serait trahir l’histoire, je ne suis pas venue faire un résumé de lecture, tout juste esquisser un contour, effleurer une page de roman, éventuellement susciter un petit intérêt pour de futures lectures.
Et au risque de me répéter, perdre la mémoire ou radoter, ce roman est construit comme une horloge, tous les éléments sont installés méticuleusement, sans précipitation, c’est juste précis, net et sans bavure ! tic tac, tic tac !
Plus de Suter sous le coude, en attendant de recharger les batteries et de continuer de lire ses autres livres, un détour chez un autre auteur contemporain, Anna Gavalda avec « ensemble c’est tout », et d’ores et déjà, je peux vous dire que ça se lit vite et bien…. Vraiment…
Aussi, me suis-je lancée dans la lecture de « un ami parfait » : un fondant au chocolat, une précision d’horloger.
Martin Suter dissèque le quotidien d’un amnésique.
Le personnage central, Fabio Rossi est un jeune journaliste, qui, suite à un accident, a perdu la mémoire des cinquante derniers jours de sa vie.
Il ne se souvient absolument de rien et c’est en questionnant son entourage qu’il parvient graduellement à comprendre qui il était et ce qu’il faisait ces cinquante derniers jours.
Le journal « Libération » a dit de cet ouvrage : « Suter continue d’explorer les arcanes de la mémoire, tissant ingénieusement intrigue policière et suspense psychologique ».
Ce livre est considéré comme un polar, il faut bien remarquer, au départ, qu’on est assez loin du cliché du polar tel qu’on se l’imagine, d’ailleurs dans les rayonnages en librairie, vous ne le rencontrerez pas dans cette catégorie. De surcroît, il n’a pas la couverture sombre qui caractérise le livre policier.
Cherchez plutôt dans les auteurs étrangers de langue allemande, et vous aurez des chances de parvenir à vos fins.
Cet ami parfait est une construction aboutie sur la quête des souvenirs. Pensez que ce héros a changé de petite amie dans l’intervalle des cinquante jours et qu'à son réveil à l'hôpital, il ne comprend pas pourquoi son ex ne vient pas le voir, un nouveau visage, inconnu, sa nouvelle amie, celle chez qui il s'installe en sortant de l'hôpital; lui ne sait qu'une chose, il aime son ex ! Cette dernière s’est mise en ménage avec son meilleur ami et Fabio l'ignore en sortant de l’hôpital, il le découvre par lui-même, personne n'ose le lui dire brutalement…
Il ne se souvient pas plus de l’article sur lequel il bossait.
Il rame alors quotidiennement pour récolter des indices et reconstituer la trame de sa vie, de ces cinquante journées cruciales …
Mais en dire plus serait trahir l’histoire, je ne suis pas venue faire un résumé de lecture, tout juste esquisser un contour, effleurer une page de roman, éventuellement susciter un petit intérêt pour de futures lectures.
Et au risque de me répéter, perdre la mémoire ou radoter, ce roman est construit comme une horloge, tous les éléments sont installés méticuleusement, sans précipitation, c’est juste précis, net et sans bavure ! tic tac, tic tac !
Plus de Suter sous le coude, en attendant de recharger les batteries et de continuer de lire ses autres livres, un détour chez un autre auteur contemporain, Anna Gavalda avec « ensemble c’est tout », et d’ores et déjà, je peux vous dire que ça se lit vite et bien…. Vraiment…
Commentaires
)