C'est en pensant au concours de Rock en Strophes qui se clôt en cette fin de mois de février 2008 que j'ai couché sur papier ces quelques mots:
En mal d'inspiration, j'prends un verre,
A la main tendue, je tends un verre,
Mon espoir se lit dans tes yeux verts,
Tous ces mots balayés d'un revers,*
peur d'une page blanche, nue comme un ver,
A l'horizon le crépuscule,
La nuit tel un pantin ridicule,
Heurtant les murs, moi le noctambule,
Je vagabonde moi la libellule,
Une étincelle et tout bascule,
Envers et contre tous
De ver en prose
Je déambule
Envers et contre tous
De ver en prose
Sans conciliabule
Envers et contre tous
De ver en prose
Je déambule
Envers et contre tous
De ver en prose
Je fais des bulles
Dans mon bain je fais la planche,
A moins que mon imaginaire flanche,
Une bonne fée sur moi se penche,
Et jette le texte sur une planche,
A moi l'espoir d'une revanche,
Des mots qui circulent sans ambages,
Sur l'autoroute de mon cerveau,
Rien ne les arrêtent sauf le péage,
A moins que le contact de ta peau,
sur ma peau stoppe tout ce flot,
Envers et contre tous
De ver en prose
Je déambule
Envers et contre tous
De ver en prose
Sans conciliabule
Envers et contre tous
De ver en prose
Je déambule
envers et contre tous
De ver en prose
Je fais des bulles.
* le texte en noir correspond aux modifications apportées au jet initial...
En mal d'inspiration, j'prends un verre,
A la main tendue, je tends un verre,
Mon espoir se lit dans tes yeux verts,
Tous ces mots balayés d'un revers,*
peur d'une page blanche, nue comme un ver,
A l'horizon le crépuscule,
La nuit tel un pantin ridicule,
Heurtant les murs, moi le noctambule,
Je vagabonde moi la libellule,
Une étincelle et tout bascule,
Envers et contre tous
De ver en prose
Je déambule
Envers et contre tous
De ver en prose
Sans conciliabule
Envers et contre tous
De ver en prose
Je déambule
Envers et contre tous
De ver en prose
Je fais des bulles
Dans mon bain je fais la planche,
A moins que mon imaginaire flanche,
Une bonne fée sur moi se penche,
Et jette le texte sur une planche,
A moi l'espoir d'une revanche,
Des mots qui circulent sans ambages,
Sur l'autoroute de mon cerveau,
Rien ne les arrêtent sauf le péage,
A moins que le contact de ta peau,
sur ma peau stoppe tout ce flot,
Envers et contre tous
De ver en prose
Je déambule
Envers et contre tous
De ver en prose
Sans conciliabule
Envers et contre tous
De ver en prose
Je déambule
envers et contre tous
De ver en prose
Je fais des bulles.
* le texte en noir correspond aux modifications apportées au jet initial...
Commentaires
un de plus, pour le plaisir de participer comme disait un certain de De Coubertin