C'est la rentrée, et la rentrée littéraire pardi.
Alors, pour vous faire partager mes lectures, je vous propose de suivre ces quelques lignes.
Et je remercie d'ailleurs, l'instigateur de cette sage proposition de découvert de la SF par un côté qui me satisfait: le domaine de l'anticipation.
"La lune seule le sait" est le titre du livre écrit par Johan Heliot, récompens& par le prix Rosny-Ainé en 2001, comme meilleur roman de science-fiction francophone.
Je savais que l'uchronie pouvait être un style qui me parlerait, et c'est chose faite, j'ai particulièrement apprécié ce volume!!!
Le thème n'y est pas étranger, et la façon de percevoir ce Napoléon, tyran s'il en est, qui me conforte dans la vision qu'en présente Johan.
Le style est parfaitement abordable et je fus assez amusée dans les premières pages d'avoir le sentiment de connaître ce style, une impression de frétiller comme un poisson dans une eau connue; une sensation plutôt agréable.
Bref un essai réussi pour cette unique lecture sérieuse de l'été, je dévore un petit opus actuellement, une "mise en bouche "de Djian, qui ressemble à la narration d'une prise d'otage dans une école.
Pas de rendez-vous littéraire dans les bois centenaires dans le Lochois, car aucun auteur interessant à mes yeux n'a fait le déplacement cette année, juste Jean Teulé, qui a cartonné avec le "Montespan" cette année, mais pour lequel j'avais déjà obtenu une belle dédicace quelques années auparavant.
Alors, pour vous faire partager mes lectures, je vous propose de suivre ces quelques lignes.
Et je remercie d'ailleurs, l'instigateur de cette sage proposition de découvert de la SF par un côté qui me satisfait: le domaine de l'anticipation.
"La lune seule le sait" est le titre du livre écrit par Johan Heliot, récompens& par le prix Rosny-Ainé en 2001, comme meilleur roman de science-fiction francophone.
Je savais que l'uchronie pouvait être un style qui me parlerait, et c'est chose faite, j'ai particulièrement apprécié ce volume!!!
Le thème n'y est pas étranger, et la façon de percevoir ce Napoléon, tyran s'il en est, qui me conforte dans la vision qu'en présente Johan.
Le style est parfaitement abordable et je fus assez amusée dans les premières pages d'avoir le sentiment de connaître ce style, une impression de frétiller comme un poisson dans une eau connue; une sensation plutôt agréable.
Bref un essai réussi pour cette unique lecture sérieuse de l'été, je dévore un petit opus actuellement, une "mise en bouche "de Djian, qui ressemble à la narration d'une prise d'otage dans une école.
Pas de rendez-vous littéraire dans les bois centenaires dans le Lochois, car aucun auteur interessant à mes yeux n'a fait le déplacement cette année, juste Jean Teulé, qui a cartonné avec le "Montespan" cette année, mais pour lequel j'avais déjà obtenu une belle dédicace quelques années auparavant.
Commentaires
Tu sais qu'une BD en est adaptée (Jean-Philippe Peyraud)