Je viens de lire cette info: Guillaume Depardieu est mort aujourd'hui, des suites d'une pneumonie foudroyante, à l'hôpital de Garches.
Né en 1971, il aura marqué la Une pour moultes raisons :fils de..., ivresse, drogue, un vrai personnage, une vraie gueule, une vraie blessure physique et morale, il a toujours combattu pour vivre. Résultat, 37 années et puis s'en va. Etait-il si fragile, que les infections l'ont terrassées puis abattues?
Un bonhomme atypique, tel que Jean Teulé les décrit dans ses récits biographiques, Guillaume Depardieu a donc quitté cette Terre, lui cet écorché de la vie, qui s'est brûlé les ailes à une rapidité étourdissante.
Son parcours particulier restera certainement dans les mémoires, qu'on l'aimât ou qu'on le détestât: par ses frasques, ses nombreux démêlés avec la justice, la présence de son nom dans les faits divers, mais aussi ses graves soucis de santé, sa difficulté à se faire un nom dans l'ombre d'un père aux larges épaules... me revient en mémoire son rôle dans "tous les matins du monde", un film d'alain Corneau de 1991, que j'avais apprécié en son temps et que j'ai à nouveau regardé en dvd récemment, avec plaisir, dans cette longue épopée d'un grand musicien sous le règne de Louis XIV. Père et fils étaient à l'affiche de ce film, un duo rare à l'écran. Guillaume Depardieu qui avait du mal à trouver la sérénité à l'ombre d'un père envahissant, n'aurau pas eu le loisir de mettre à profit le bénéfice de l'âge pour apaiser sa colère et son mal-être.
Né en 1971, il aura marqué la Une pour moultes raisons :fils de..., ivresse, drogue, un vrai personnage, une vraie gueule, une vraie blessure physique et morale, il a toujours combattu pour vivre. Résultat, 37 années et puis s'en va. Etait-il si fragile, que les infections l'ont terrassées puis abattues?
Un bonhomme atypique, tel que Jean Teulé les décrit dans ses récits biographiques, Guillaume Depardieu a donc quitté cette Terre, lui cet écorché de la vie, qui s'est brûlé les ailes à une rapidité étourdissante.
Son parcours particulier restera certainement dans les mémoires, qu'on l'aimât ou qu'on le détestât: par ses frasques, ses nombreux démêlés avec la justice, la présence de son nom dans les faits divers, mais aussi ses graves soucis de santé, sa difficulté à se faire un nom dans l'ombre d'un père aux larges épaules... me revient en mémoire son rôle dans "tous les matins du monde", un film d'alain Corneau de 1991, que j'avais apprécié en son temps et que j'ai à nouveau regardé en dvd récemment, avec plaisir, dans cette longue épopée d'un grand musicien sous le règne de Louis XIV. Père et fils étaient à l'affiche de ce film, un duo rare à l'écran. Guillaume Depardieu qui avait du mal à trouver la sérénité à l'ombre d'un père envahissant, n'aurau pas eu le loisir de mettre à profit le bénéfice de l'âge pour apaiser sa colère et son mal-être.
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