c'est dimanche soir, et je vous dis bonsoir
je viens de laisser choir
une histoire
vais vous en parler, allez voir
il faut me croire
...
Sur fred vargas !
Le best- seller qui l’a fait connaître au grand public, c’est « Pars vite et reviens tard ». Elle joue sur l’ambiguïté de son nom « fred », on croirait que le spécialiste du polar est un homme et non.
Frédérique Audouin- Rouzeau, de son vrai nom, est une femme, de surcroît une spécialiste d’archéologie, elle devient archéozoologue au CNRS.
Fille d’un écrivain, féru de Pic de la Mirandole, elle fête ses 50 ans cette année. Si l’intrigue de son polar « Pars vite, et reviens tard » se situe dans le 14ème arrondissement de Paris, c’est simplement le fief de la famille Audouin-Rouzeau, c’est là que Frédérique a grandi, et c’est là où elle vit toujours, à deux pas du carrefour Edgar Quinet.
Ce roman policier noue son intrigue sur des annonces criées par un breton, qui a fait son métier de crieur, une rencontre quotidienne de personnages du quartier de Montparnasse.
Fred, en habituée des épizooties, mène son récit en présentant un fléau qui est censé menacer la vie française. Des personnages se croisent et le tout se noue au fil des pages.
L’histoire est bien ficelée, même si j’avoue qu’au départ j’ai rencontré des difficultés pour vraiment m’immiscer dans le vif du sujet, passées les cinquante premières pages, l’intérêt grandissant, m’a conduit jusqu’au bout de la lecture avec une plus grande avidité !
D’autant que je ne suis pas une férue de polars, il faut donc que le style me plaise pour que j’adhère au concept.
Le bilan est donc plutôt positif, dans le sens où j’ai mené à bout ma lecture !
De surcroît, j’ai eu l’impression que dans la deuxième partie du récit, l’enchaînement prend de l’amplitude, le suspens est bien mené et il suscite chez le lecteur l’envie de continuer de lire pour savoir ce qui va arriver ; c’est plutôt donc bon signe !
J’avais entendu parler de Fred Vargas, et j’avais donc envie de découvrir qui se cachait derrière cet auteur contemporain, reconnu.
Quelle ne fut pas ma surprise, lisant un article sur le nouveau polar en janvier dernier, d’apprendre que ce fred vargas est avant tout une historienne, je ne connaissais pas l’auteur des polars (juste de nom), mais je connaissais fred sous son vrai nom Frédérique Audouin, en sa qualité d’historienne.
J’ai donc trouvé amusante cette découverte et vous la livre, même si cela ne présente pas un grand intérêt à vos yeux sans doute !
Le best- seller qui l’a fait connaître au grand public, c’est « Pars vite et reviens tard ». Elle joue sur l’ambiguïté de son nom « fred », on croirait que le spécialiste du polar est un homme et non.
Frédérique Audouin- Rouzeau, de son vrai nom, est une femme, de surcroît une spécialiste d’archéologie, elle devient archéozoologue au CNRS.
Fille d’un écrivain, féru de Pic de la Mirandole, elle fête ses 50 ans cette année. Si l’intrigue de son polar « Pars vite, et reviens tard » se situe dans le 14ème arrondissement de Paris, c’est simplement le fief de la famille Audouin-Rouzeau, c’est là que Frédérique a grandi, et c’est là où elle vit toujours, à deux pas du carrefour Edgar Quinet.
Ce roman policier noue son intrigue sur des annonces criées par un breton, qui a fait son métier de crieur, une rencontre quotidienne de personnages du quartier de Montparnasse.
Fred, en habituée des épizooties, mène son récit en présentant un fléau qui est censé menacer la vie française. Des personnages se croisent et le tout se noue au fil des pages.
L’histoire est bien ficelée, même si j’avoue qu’au départ j’ai rencontré des difficultés pour vraiment m’immiscer dans le vif du sujet, passées les cinquante premières pages, l’intérêt grandissant, m’a conduit jusqu’au bout de la lecture avec une plus grande avidité !
D’autant que je ne suis pas une férue de polars, il faut donc que le style me plaise pour que j’adhère au concept.
Le bilan est donc plutôt positif, dans le sens où j’ai mené à bout ma lecture !
De surcroît, j’ai eu l’impression que dans la deuxième partie du récit, l’enchaînement prend de l’amplitude, le suspens est bien mené et il suscite chez le lecteur l’envie de continuer de lire pour savoir ce qui va arriver ; c’est plutôt donc bon signe !
J’avais entendu parler de Fred Vargas, et j’avais donc envie de découvrir qui se cachait derrière cet auteur contemporain, reconnu.
Quelle ne fut pas ma surprise, lisant un article sur le nouveau polar en janvier dernier, d’apprendre que ce fred vargas est avant tout une historienne, je ne connaissais pas l’auteur des polars (juste de nom), mais je connaissais fred sous son vrai nom Frédérique Audouin, en sa qualité d’historienne.
J’ai donc trouvé amusante cette découverte et vous la livre, même si cela ne présente pas un grand intérêt à vos yeux sans doute !
vous n'avez pas trouvé de comparaison avec l'adaptation cinématographique de Régis Warnier, c'est normal, je n'ai pas vu le film, je n'aurai donc pas la prétention de faire un quelconque commentaire la-dessus!
Voilà un dimanche qui s'achève en écrivant sur mon blog, tout en écoutant, Matmatah "la cerise", puis Ben Harper, tout en mélant un peu de Mozart au milieu...et puis j'ai commencé une autre lecture, j'ai remis le couvert avec Martin Suter, dont je crois bien rafoler...
Et pour finir, car le temps passe bien trop vite, je vais vous abandonner pour mes fourneaux et réaliser des pâtes à la carbonara, vous laissant saliver avant l'heure du repas!
Commentaires
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tonino_Benacquista
Moi j'accroche pas, mais il est sur le même piedestal que Vargas chez les amateurs de noirceurs franchouillarde.
bien aimé l'intrigue les acteurs et les vues de paris bien sûr
ai voulu récidiver avec un autre bouquin du même auteur mais j'avoue que j'ai pas été au bout