Et voilà, et de 4!!
Depuis la sortie d’ ”Eldorado”,j’ai pu profiter 4 fois de la prestation de Stephan Eicher: au bataclan fin mai 2007, en juin au show case de la Fnac des Ternes, fin octobre 2007 à l’Olympia, et la halle aux grains de Blois ce mardi 4 mars 2008.
Comme à son habitude, le chanteur helvète a déstructuré, recomposé les morceaux de son répertoire, accompagné de deux musiciens, martin les a abandonné. L’électronique occupe dans cette tournée une place de choix. Mister Eicher a délaissé son mac book pro pour deux petits macs noirs et des artifices multiples pour orchestrer la soirée.
Dans un bel hémicycle, à l’acoustique de qualité moyenne, il a mené la danse pendant deux heures, et à l’issue d’un premier rappel, bon nombre de spectateurs étaient debout dans cette salle.
Un “combien de temps” électro comme j’affectionne, quand les instruments se déchaînent, un I cry at commercials jazzy et rythmé, un “two people in a room” complètement revisité, et de nombreux textes issus de son dernier album avec une nouvelle visite musicale des “hauts des bas”, nous sommes très loin du style musical qui l’a fait monter dans le box office après l’album “Engelberg” et pourtant sa grande force réside dans sa capacité à transformer ses morceaux de fond en comble et de modifier complètement leur architecture musicale, en cela le musicien est très fort et éclectique, guitare acoustique, électrique, batterie, harmonica... il sait jouer de tout, même fatigué, même avec quelques mécontentements visibles, agacements qu’ils n’avaient jamais montré jusqu’à présent.
Bilan, un bon spectacle néanmoins, et puis la cerise sur le gâteau j’ai obtenu un nouvel autographe. :-), alors que d’aucunes peu avant, prêtaient leur voix pour un interview-sondage!!
Le premier du genre à l’issue d’un concert, par expérience, l’homme est très réticent à donner de sa personne pour écrire sa signature sur un quelconque support.
Peu après la fin du concert, je réussissais, alors que les trois acolytes patientaient derrière une baie vitrée afin qu’une voiture les emmène vers une destination inconnue, à lui faire signer sur ma pochette une dédicace “vite fait” comme il me dit, légèrement ronchon.
On ne peut pas être plus distant avec son public que monsieur Eicher. Rarissime exploit de satisfaire une envie de midinette certes, d’avoir ainsi son petit autographe, sans l’avoir spécialement barbé des heures, sans lui avoir sauté dessus, sans lui demander la lune il me semble.
...J’oubliais: durant le concert, un papy, tout excité, a eu l’audace et l’inconscience de le prendre en photo en s’approchant très très près, à plusieurs reprises, après un avertissement de Stephan. La mamie, qui plus tard, s’est avancé durant le concert également pour demander une dédicace sur un livre... de quoi agacer vous pensez?...
Levée du rideau: on rejoint sa petite automobile orange garée tout prêt de cette sortie des artistes et on rejoint notre bonne vieille ville d’Amboise.
Il est plus que probable que ce concert soit le dernier d’une jolie série pour l’album “eldorado” en attendant la sortie d’un éventuel prochain aux alentours de 2010...
Fin de la série des sorties depuis samedi dernier, entre soirée bar, les sorties ciné entre la balade dans le Nord et Paris de Cédric Klapisch.
Depuis la sortie d’ ”Eldorado”,j’ai pu profiter 4 fois de la prestation de Stephan Eicher: au bataclan fin mai 2007, en juin au show case de la Fnac des Ternes, fin octobre 2007 à l’Olympia, et la halle aux grains de Blois ce mardi 4 mars 2008.
Comme à son habitude, le chanteur helvète a déstructuré, recomposé les morceaux de son répertoire, accompagné de deux musiciens, martin les a abandonné. L’électronique occupe dans cette tournée une place de choix. Mister Eicher a délaissé son mac book pro pour deux petits macs noirs et des artifices multiples pour orchestrer la soirée.
Dans un bel hémicycle, à l’acoustique de qualité moyenne, il a mené la danse pendant deux heures, et à l’issue d’un premier rappel, bon nombre de spectateurs étaient debout dans cette salle.
Un “combien de temps” électro comme j’affectionne, quand les instruments se déchaînent, un I cry at commercials jazzy et rythmé, un “two people in a room” complètement revisité, et de nombreux textes issus de son dernier album avec une nouvelle visite musicale des “hauts des bas”, nous sommes très loin du style musical qui l’a fait monter dans le box office après l’album “Engelberg” et pourtant sa grande force réside dans sa capacité à transformer ses morceaux de fond en comble et de modifier complètement leur architecture musicale, en cela le musicien est très fort et éclectique, guitare acoustique, électrique, batterie, harmonica... il sait jouer de tout, même fatigué, même avec quelques mécontentements visibles, agacements qu’ils n’avaient jamais montré jusqu’à présent.
Bilan, un bon spectacle néanmoins, et puis la cerise sur le gâteau j’ai obtenu un nouvel autographe. :-), alors que d’aucunes peu avant, prêtaient leur voix pour un interview-sondage!!
Le premier du genre à l’issue d’un concert, par expérience, l’homme est très réticent à donner de sa personne pour écrire sa signature sur un quelconque support.
Peu après la fin du concert, je réussissais, alors que les trois acolytes patientaient derrière une baie vitrée afin qu’une voiture les emmène vers une destination inconnue, à lui faire signer sur ma pochette une dédicace “vite fait” comme il me dit, légèrement ronchon.
On ne peut pas être plus distant avec son public que monsieur Eicher. Rarissime exploit de satisfaire une envie de midinette certes, d’avoir ainsi son petit autographe, sans l’avoir spécialement barbé des heures, sans lui avoir sauté dessus, sans lui demander la lune il me semble.
...J’oubliais: durant le concert, un papy, tout excité, a eu l’audace et l’inconscience de le prendre en photo en s’approchant très très près, à plusieurs reprises, après un avertissement de Stephan. La mamie, qui plus tard, s’est avancé durant le concert également pour demander une dédicace sur un livre... de quoi agacer vous pensez?...
Levée du rideau: on rejoint sa petite automobile orange garée tout prêt de cette sortie des artistes et on rejoint notre bonne vieille ville d’Amboise.
Il est plus que probable que ce concert soit le dernier d’une jolie série pour l’album “eldorado” en attendant la sortie d’un éventuel prochain aux alentours de 2010...
Fin de la série des sorties depuis samedi dernier, entre soirée bar, les sorties ciné entre la balade dans le Nord et Paris de Cédric Klapisch.
Commentaires
tu devrais casser ton contrat moral quand même:-), il ne manque pas de bons concerts, parole d'Hemmige:)