Accéder au contenu principal

soir du 15 septembre...

troisième semaine entamée dans ma nouvelle région d”adoption”.

Troisième semaine dans mon nouvel environnement professionnel .

TGV des journées écoulées, pas de photos pour agrémenter mon nouveau terrain de prédilection,

plus tard, un aperçu de cette contrée, un joli panel,

quoique sur la toile, tout se trouve , avec Blois pour mention!


Je remets sur le tapis, mon programme politique,
pour quand les week de trois jours?
pas un top économique,
mon salut pour allonger les jours!
de repos s’entend! problématique,
vous pensez? une “profession de foi four”?

loin d’être une situation comique,
cependant, je ne vous joue pas de tour!
au musée de la magie, c’est magique,
pourquoi pas un nouveau parcours,
de gérard Majax, à la fée valériesque!
blablabla, encore et toujours.

..............................................................................................................................................................
Réunion “ de rentrée” dans l’après-midi pour présenter euh, “on” se demande quoi d’ailleurs! J’ai beau être nouvelle dans les murs, je connais comme tous mes petits camarades, les tâches du service qui incombent au petit personnel, corvéable et modulable et polyvalent, et multitâche et hypertrophié surtout, qui doit mener de front toutes les missions sans défaillir, sans tenir compte d’aucun paramètre, ‘bouléisant” le service... parfaitement représenté par son éminence “grise” (à prendre au premier degré), qui ne prépare pas grand chose pour parer aux éventuelles attaques du sommet.

Tant que les baudets ne ruent pas et que la charrette avance tant bien que mal, à quoi bon tirer sur la sonnette d’alarme?

Ne perdons pas de vue, que je ne sombre nullement dans la déprime, pour preuve, je continue de propager mon rire, et des âmes charitables ont bien compris, que fallait pas grand chose pour que cette hilarité se déclare facilement.

Les occasions ne manquent pas. Au royaume de la bonne humeur, l’essentiel est de maintenir une bonne ambiance, pour ne pas sombrer dans l’indifférence et l’anonymat!

Seul dans son coin, l’humain broie du noir, c’est bien connu! Mais je me disperse, transgresse, contre carre l’objectif premier de mon billet de ce soir... encore que lecteur, tu es habitué à lire mes pensées qui défilent au rythme de mon écriture sur “pages” (pour les pc-istes, c’est l’équivalent de word, chez les mac-eurs :-))) )vous remarquerez sur le passage le nombre de mots que je créée, en l’espace de quelques lignes,le démon de l’écriture réapparaitrait-il en cet “été” finissant, le soleil déclinant sur des feuillages mordorés, teintés de ma couleur orange:-))).

Sans vouloir ménager de transition subtile, je ne fais pas de dissertation pour un quelconque enjeu, je voulais vous parler d’un peintre qui a représenté en fin de vie, que du ciel sur ses toiles, l’ouvrage référence, se nomme d’ailleurs “Ciels”écrits et peintures.

Cet artiste, c’est un beauceron, longtemps patron d’une célèbre école de dessin par correspondance, j’ai nommé Jean Feugereux, dont les oeuvres furent exposées, dans la salle des lys du château d’Amboise.

De cette exposition fut édité donc ce livre cité plus haut,dont je détiens un exemplaire pour avoir été surveillante de ladite exposition durant l’été 1994.

C’est en revisitant les oeuvres d’Olivier Debré, que je me suis par la même occasion replongée dans cet ouvrage.
Rien à voir, certes avec les tableaux de O.D., mais une tendance à utiliser des couleurs pour représenter des sensations, des vibrations plus que des réalités.

Des fondus de bleu, de rouge, d’ocre, de jaune, autant de nuances qui vous enveloppent et vous emmènent dans la mécanique de la palette de couleurs que l’oeil peut identifier!
C’est à la fois simple, magique et passionnant.
Suffit de regarder l’astre solaire descendre dans l’ouest, pour se rendre compte de cette infinité de particules colorées qui transpercent l’horizon (notons que la majorité des fenêtres de mon “loft”, donne à l’ouest et que je peux largement profiter de cette luminosité si particulière, tout en tapant mon texte sur mon clavier.)Par conséquent le cheminement de ma pensée m’a porté tout naturellement sur ce peintre, faiseur d’images de Beauce et de Bretagne.

Et bla et bla, en attendant la petite aiguille des minutes défile, je devais aller à la Poste, trop tard et je commence à saliver, tenaillée par ce qu’on dénomme faim.
A très bientôt pour de nouvelles brèves.

Commentaires

Anonyme a dit…
J'ai mis en pratique ton programme politique, je vais bénéficier de WE de 3 jours durant ces deux semaines :):)
V. a dit…
moi, je sais que cette formule serait hautement bénéfique:-)))
Anonyme a dit…
Clair que je vote pour toi !!!

Autre solution: pouvoir faire ton travail de 5 jours en 4 (à priori ça existe comme possibilité... chez nous je ne sais pas) .

Moi ça me tenterait si on pouvait!

Pour l'instant, pas de WE de 3 jours mais un abonnement pour les mercredi !!! ^_^

Posts les plus consultés de ce blog

Et si le printemps avait frappé à la porte. Groseillier dessine moi une fleur... Comme chaque année le renouveau se fait en mars. Une alchimie particulière entre les éléments de la nature et un climat plus clément viennent ravir nos pupilles. Et pour cause, les bourgeons éclatent, la lumière se diffuse plus largement. Les oiseaux pépient. La renaissance du Printemps fait son œuvre. C'est de la magie, un cycle perpétuel, une ritournelle... un plaisir sans cesse renouvelé. Un jour une branche lisse, le lendemain une éclosion de feuilles, à peine le dos tourné et hop, tout se transforme, et chacun se pare de ses plus beaux habits pour démarrer une nouvelle saison moins hostile que la précédente, plus joyeuse et ouverte sur la plus estivale. Un boulevard se dévoile. Il ne reste plus qu'à observer, contempler et se préparer.  

eisbär

Retour sur la montagne et sur l'architecture dans l'aventure des sports d'hiver. Cette étude issue de la thèse de Marie Wozniak (pour mémoire) est formidable. La formule est loin d'être abusive, elle nous emmène sur les choix architecturaux choisis par l'Etat et les élus locaux pour dynamiser un espace blanc à conquérir. Après les constructions des stations intégrées, les années 80 connurent une désaffection des sports d'hiver. La baisse de la fréquentation touristique amène les pouvoirs locaux à réfléchir sur de nouveaux concepts pour attirer la clientèle. L'idée majeure est qu'il faut relooker les stations, d'où l'adoption du style "néo-traditionnel" parce que les publicitaires imaginent que les touristes plébiscitent "heïdiland". Il s'avère n'être qu'un déguisement. Image d'authenticité: les villages savoyards à l'architecture traditionnelle sont le nouveau créneau. L'architecture moderne (Courchevel...

caricaturage

Vous l'avez reconnue cette caricature? Plutôt très facile, et si c'est le cas, ne vous fait-elle pas penser à une autre personne, autre nationalité, autre âge... Divertissement du soir, bonsoir !