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Articles

Affichage des articles du février, 2009

mandela

Vu goodbye Bafana... J'avais oublié de vous en parler. Bon ce n'est pas du grand cinoche, un peu mélo, même, mais sympathique au demeurant. Moi qui n'arrive plus à me concentrer devant l'écran de la TV allumé, j'ai tout regardé sans broncher, signe qu'il était plutôt pas mal finalement. Bon je supporte vraiment pas la violence, quand on voit des africaines de peau noire se faire tabasser parce qu'elles n'ont pas de visa pour circuler... ça me fait bondir... ! Et l'injustice aussi, bon je suis trop utopique, ça rejoindrait presque la naïveté, mais bon j'ose le dire quand même, j'assume! Je sais pertinemment que l'Homme n'est pas franchement bon, et que la castagne fait partie de la Vie. Autrement pourquoi l'Homme serait-il un loup pour l'Homme? L'histoire tourne autour de la relation qui se noue entre le geolier joué par Joseph Fiennes et Mandela (Dennis Haysbert). Entre un gardien de prison raciste, dans une Afrique du S...

Leonard toujours et encore

Ah Léonard, tu fais toujours parler de toi, malgré ta disparition remontant au début du XVIème siècle, tu suscites de l'intérêt. Quel fabuleux personnage tu es. En témoigne, cet article: http://www.lemonde.fr/culture/article/2009/02/23/un-possible-portrait-de-de-vinci-decouvert-en-italie_1159406_3246.html#xtor=RSS-3208 Parait que ce serait un de tes auto-portraits découvert dans un petit village du Sud de l'Italie, Acerenza. Et même si erreur il y a sur l'identité du bonhomme, tu seras qui que tu sois, exposé dans une galerie italienne, Vaglio, qui aura pour thème Léonard de Vinci! Bel hommage, pour cette toile demeurée dans l'ombre d'une famille privée, pris pour une copie au départ, tu serais finalement bien un original de la Renaissance. Pléonasme, puisque tu vas renaître à la lumière d'ici peu. Combien de paires d'yeux scrutateurs vont te dévisager chaque jour, experts, amateurs ou simples visiteurs...

Impardonnables

IMPARDONNABLES Tel est le titre très évocateur du nouveau roman de Philippe Djian. Après sa série Doggy bag, dont je n’avais pas réellement apprécié la teneur, ce nouvel opus a retenu toute mon attention. le style n’est plus tout à fait le même, le ton lui-même a évolué. Moi qui avait peur d’en avoir irrémédiablement fait le tour, je suis agréablement surprise. Cette fois Djian reprend le personnage de l’écrivain qu’il est, avec l’âge qu’il a, ou presque, le pays basque en toile de fond avec une étrange disparition qui le rend exsangue. Francis, c'est ainsi qu'il est nommé, ne s'est remis que difficilement de la tragique mort, dans un accident de voiture, de sa femme et de sa fille aînée, et, cette fois, c’est la disparition inopinée de sa cadette qui le met à l’épreuve. Sans aucune nouvelle, il se demande si la mort a frappé ou si une quelconque demande de rançon va un jour être formulée. Voilà comme un équilibre fragile peut vite tomber...Lui qui croyait avoir construit...

merveille

Des racines et des ailes nous transportent en Corse. Quel bonheur de revoir la réserve de Scandola, le fort de Girolata.... (admirez la preuve en image!)le bleu de ces eaux, ces roches ... De beaux souvenirs qui émergent à nouveau, plaisant flashback qui donne des fourmillements! Paysages et patrimoine défilent, c'est majestueux et grandiose à la fois. L'île de beauté n'a pas à rougir de son surnom, bien au contraire! Pace et salute!

B&W : un must

Cliché de cette force naturelle: l'Arbre dans toute sa splendeur. Force de la nature qui endure tous les frimas et qui ne dit mot pour qui l'ignore!

3 en 1

Petit florilège des dernières lectures, un savant mélange, d’auteurs européens et américains: D’abord l’incontournable Russel Banks, puis l’italienne Milena Agus et enfin le célèbre français déjà maintes fois cité ici, Jean Teulé. 3 histoires différentes, 3 registres littéraires particuliers, et finalement un point commun entre les trois : la solitude et la mort qui rôde. Entre “Sous le règne de Bone”, “Mon voisin” et “les lois de la gravité”, existe une ligne directrice: l’errance. Reprenons. Banks présente une sorte de road movie, où le jeune Chappie, alias Bone, ado au mal-être indéniable, apprend la vie au contact de marginaux dans un périple au-delà des frontières US. Sorte de parcours initiatique, le jeune garçon sortira grandi de cette période de sa vie, riche en expériences illicites, forte en émotions en tous genres, en rencontres toutes aussi surprenantes que les autres et forgeant le caractère. Tout débute dans une bourgade où Chappie découvre les joies de la fumette. Pour s...

de la philo chez Esprit

Juste un petit mot ce soir, rapport, à mon activité principale hier. Derrière moi, les agences immobilières du vendredi soir, du samedi, des reflexions entendues, je fais un devoir, de vous en rapporter la teneur! Déambulant de ci de là , lentement et sans précipitation aucune, je me baladais quand, entrant dans cette enseigne Esprit, je fus prise d'intérêt pour la grande discussion qui animait la "tenancière" (rapport à la tonalité de sa voix, poissonnière au milieu des fringues) et une de ses clientes. Très instructive pensée philosophique qui portait sur la morosité des enfants d'aujourd'hui, ils ne sont pas optimistes parce que leurs parents leur renvoient cette image tristounette...ils ont perdu leur innocence dans ce monde de brutes, et encore, allons crescendo: "vous comprenez, ma filleule, elle a regardé l'émission machin chose sur la Planète en 2075, et elle a pleuré en voyant ce qu'était l'avenir"... blablabla, quelle image du mond...

photo stylisée

Bah, oui quoi le liseré rose, sur les photos, c'est chié,non? (et la couleur du texte est assortie pour l'occasion) Cela dit la pris est belle, elle me sied! ........................................................ Trève de plaisanterie, ce soir je suis retournée visiter des logements, toujours en quête de mon futur logement , où je ferai tout ce qu'il me plaira, sauf que j'aurai plus de tune pour y faire quoi que ce soir:-) ou :-(... Cette fois, pas de publicité pour un appartement qu'aurait squatté un nom connu..., des genres très différents, du 46 m2, bien agencé , très récent, mais trop petit pour moi désormais! Non mais! Un 55 m2 dans une résidence vieillotte, où j'avais décrêté ne pas y remettre les pieds après une viste rebutante dans l'été, et finalement pas si nul, sauf que l'emplacement me déroute un peu, m'éloignant de mon objectif et puis la dernière visite, un spacieux 80 m2, près de mon quartier actuel, qui correspond plus à mes attent...

quoi de neuf sur Terre?

Un petit tour sur le blog, faut le nourrir pour ne pas le voir dépérir comme les plantes que je n'arrive pas à maintenir en vie: je n'ai pas la "main verte", tout juste pour les cactus! Le blog a plus de chance, écrire, parler, ça me connaît davantage, pas besoin d'engrais, ni rien dans ce domaine! Quoi de neuf depuis le dernier post? Et bien dans la série retour de vacances, en cette période de l'année, je suis allée faire une virée dans nos beaux massifs alpins, dans une petite station, juchée à 1550mètres au-dessus de Modane. Et oui, de la vallée de la Maurienne, je ne saurai me lasser. La station en question est Valfréjus, car elle est juste à côté du tunnel du Fréjus, qui permet de traverser la frontière italienne et d'atteindre aisément Torino, la capitale régionale, connue pour ses sportifs en short, de ceux qui courent derrière un ballon rond, vous voyez le trip? Bon, il est question d'une station, montée de toute pièce, pour la vallée encaissé...