
Le titre de ce post n'a pas l'ambition de plagier les affiches publicitaires d'un organisme bancaire, ni de jouer les esthéticiennes au vernissage parfait...
Appuyer sur le bouton afin d'éclairer votre lanterne!
Depuis pas mal de temps, j’avais prévu de vous parler d’un jeune artiste que je connais. Quand j’eus le projet de créer une galerie d’art, j’avais pensé notamment à lui et à toute une pépinière d’artistes pour débuter la saison.
Le projet est tombé à l’eau, car mes petites économies auraient succombé trop rapidement à l’hémorragie des charges , bail commercial etc... je vous passe le désastreux tableau des comptes négatifs...
Ce doux rêve prendra tournure, le jour où:
soit j’aurai gagné à euro millions (dites les filles, c’est quand que vous sortez les bons numéros le vendredi :-))))!! )
soit j'aurai épousé un riche mari, qui m’offrira une galerie par philanthropie et pour l’amour de sa dulcinée,
soit euh, je n’ai plus de cartouche sérieuse, pour réunir toutes les conditions à ce jour.
Même le statut d’auto-entrepreneur, que notre gouvernement prône, ne m’octroiera pas l’opportunité de me lancer actuellement dans cette aventure.
Toujours est-il que ce post devait voir le jour depuis plusieurs semaines, que dis-je plusieurs mois désormais, avec l’aval de son protagoniste.
Il était une fois un jeune brésilien, qui étudiant à Bourges, rencontra sa belle, sa belle qui n’est autre que la soeur de mon beau-frère. Et comme il est arrivé de nous rencontrer lors de fêtes familiales et autres soirées communes, le jeune artiste en question j’ai eu l’occasion, bien sûr, de le côtoyer.
Et alors là, vous brûlez d’impatience de savoir son nom et de découvrir les toiles qu’il peint.
Normale comme réaction.
Alors sans plus attendre, et en plus sans faire de publicité aucune, je vous renvoie illico vers sa page:
http://www.julianocaldeira.com/peint_fr.html
Il est question donc de Juliano Caldeira, un jeune brésilien qui vit en France, sur Paris, et qui s’est lancé avec courage et détermination dans le long cheminement de la création artistique et tenter d’en vivre.
En parcourant sa page , vous aurez le loisir de découvrir davantage, ses toiles*, son parcours, ses choix, ses expo.... libre à vous d'apprécier, de détester...
* tout ce qu'il fait n'est pas en ligne !
Et si d’aventure son univers vous intéresse et que vous souhaitez habiller vos murs, n’hésitez pas à m’en parler.
Tiens à propos de murs, il se pourrait que dans les mois à venir, je sois en plein action artistique moi aussi: du blanc immaculé sur murs et plafonds pour modeler l’intérieur de mon investissement dans la pierre. Rien n’est encore fait, ne vendons pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué, comme dirait l’autre.
Et après je pourrai y installer dans une déco toute neuve, la belle guitare dessinée par Castelbajac, dont j’avais admiré la facture dans une boutique de Tours...dont une photo illustre ce 181ème message depuis la création de valenbloc!
D’ici là... elle ne me plaira plus, où mon budget exsangue repositionnera mes ambitions pour choisir finalement dans le catalogue de chez I....(avec un K dedans et puis deux voyelles, ça vous parle?)
Vous aurez, avec un oeil affûté, remarqué que dans ce post, je suis dans la construction, soit, soit,... l’hypothétique diptyque comme solution à toutes mes interrogations...
Paraît que la psychologie féminine a cette particularité de se poser quantité de questions...sur tout, sur rien, d’analyser , de tergiverser... pour rien, comme ça...
Juste pour rien, comme ça... pour reprendre ces quelques de mots de Thomas Dutronc, la jeune scène française qui cartonne! Lui dont j’ai abreuvé le blog l’an passé, avec force conviction, a gagné le coeur des “masses”, son coeur peut se gonfler de reconnaissance autant que son compte en banque avec la sacem; la fin du trimestre approche:-)
Et pour finir sur une note humoristique, le dicton du jour dixit François Cavanna:
"même les plus cons ont leur jour de gloire: leur anniversaire!"
J'en tire le postulat suivant:
Sans me définir plus bête qu'un autre humain, mais sans avoir la prétention d'être moins conne que les autres:
Et si je fêtais plus mon anniversaire? :-)))
A vous la régie, à vous les studios. Ici la Terre.
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Depuis pas mal de temps, j’avais prévu de vous parler d’un jeune artiste que je connais. Quand j’eus le projet de créer une galerie d’art, j’avais pensé notamment à lui et à toute une pépinière d’artistes pour débuter la saison.
Le projet est tombé à l’eau, car mes petites économies auraient succombé trop rapidement à l’hémorragie des charges , bail commercial etc... je vous passe le désastreux tableau des comptes négatifs...
Ce doux rêve prendra tournure, le jour où:
soit j’aurai gagné à euro millions (dites les filles, c’est quand que vous sortez les bons numéros le vendredi :-))))!! )
soit j'aurai épousé un riche mari, qui m’offrira une galerie par philanthropie et pour l’amour de sa dulcinée,
soit euh, je n’ai plus de cartouche sérieuse, pour réunir toutes les conditions à ce jour.
Même le statut d’auto-entrepreneur, que notre gouvernement prône, ne m’octroiera pas l’opportunité de me lancer actuellement dans cette aventure.
Toujours est-il que ce post devait voir le jour depuis plusieurs semaines, que dis-je plusieurs mois désormais, avec l’aval de son protagoniste.
Il était une fois un jeune brésilien, qui étudiant à Bourges, rencontra sa belle, sa belle qui n’est autre que la soeur de mon beau-frère. Et comme il est arrivé de nous rencontrer lors de fêtes familiales et autres soirées communes, le jeune artiste en question j’ai eu l’occasion, bien sûr, de le côtoyer.
Et alors là, vous brûlez d’impatience de savoir son nom et de découvrir les toiles qu’il peint.
Normale comme réaction.
Alors sans plus attendre, et en plus sans faire de publicité aucune, je vous renvoie illico vers sa page:
http://www.julianocaldeira.com/peint_fr.html
Il est question donc de Juliano Caldeira, un jeune brésilien qui vit en France, sur Paris, et qui s’est lancé avec courage et détermination dans le long cheminement de la création artistique et tenter d’en vivre.
En parcourant sa page , vous aurez le loisir de découvrir davantage, ses toiles*, son parcours, ses choix, ses expo.... libre à vous d'apprécier, de détester...
* tout ce qu'il fait n'est pas en ligne !
Et si d’aventure son univers vous intéresse et que vous souhaitez habiller vos murs, n’hésitez pas à m’en parler.
Tiens à propos de murs, il se pourrait que dans les mois à venir, je sois en plein action artistique moi aussi: du blanc immaculé sur murs et plafonds pour modeler l’intérieur de mon investissement dans la pierre. Rien n’est encore fait, ne vendons pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué, comme dirait l’autre.
Et après je pourrai y installer dans une déco toute neuve, la belle guitare dessinée par Castelbajac, dont j’avais admiré la facture dans une boutique de Tours...dont une photo illustre ce 181ème message depuis la création de valenbloc!
D’ici là... elle ne me plaira plus, où mon budget exsangue repositionnera mes ambitions pour choisir finalement dans le catalogue de chez I....(avec un K dedans et puis deux voyelles, ça vous parle?)
Vous aurez, avec un oeil affûté, remarqué que dans ce post, je suis dans la construction, soit, soit,... l’hypothétique diptyque comme solution à toutes mes interrogations...
Paraît que la psychologie féminine a cette particularité de se poser quantité de questions...sur tout, sur rien, d’analyser , de tergiverser... pour rien, comme ça...
Juste pour rien, comme ça... pour reprendre ces quelques de mots de Thomas Dutronc, la jeune scène française qui cartonne! Lui dont j’ai abreuvé le blog l’an passé, avec force conviction, a gagné le coeur des “masses”, son coeur peut se gonfler de reconnaissance autant que son compte en banque avec la sacem; la fin du trimestre approche:-)
Et pour finir sur une note humoristique, le dicton du jour dixit François Cavanna:
"même les plus cons ont leur jour de gloire: leur anniversaire!"
J'en tire le postulat suivant:
Sans me définir plus bête qu'un autre humain, mais sans avoir la prétention d'être moins conne que les autres:
Et si je fêtais plus mon anniversaire? :-)))
A vous la régie, à vous les studios. Ici la Terre.
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