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Articles

Affichage des articles du 2009

effet boule de neige

Fin décembre Mois passé comme d’ordinaire au rythme effréné d’un moteur turbo! En ces périodes de réjouissance, retour en arrière vers la mi décembre, lorsque les préparatifs battaient leur plein! Petit détour vers Paris, pour profiter des décorations de Noël, préparer les festivités grâce au diplôme “es cadeaux” de fin d’année et voir les amies, car cette période de mi décembre avait la saveur d’un week end entre filles! Un homme resté at home et un autre parti aux 24 heures du jeu... tout un programme rien que pour nous, entre filles donc. Une journée en vadrouille dans certains quartiers de la capitale en quête de ces paquets qui garnissent la hotte de qui vous savez:-) une soirée retrouvailles autour d’une truffade dans la brasserie toujours aussi animée de la rue de la gaieté pour ne pas nommer le rendez-vous hivernal du Plomb du Cantal. Et puis après réflexion un détour en toute fin de soirée vers les éclairages les plus beaux, de la Concorde aux célèbres champs Elysées, si enco...

Zafon fon fon les petites marionnettes

Petit rappel des lectures faites : Zafon, Carlos Ruis de son prénom est un castillan , dont j'ai lu deux livres: l'ombre du vent puis le jeu de l'ange. Dans ces deux histoires, il est question d'un jeune auteur littéraire, de librairies, de livres issus d'un cimetière, de personnages maléfiques... un univers bien particulier et attachant. Le tout est bien ficelé, car même si l'intrigue, dans les deux livres, est presque similaire, à mon goût, pour mériter d'en faire une critique élogieuse. Lu aussi un auteur Oriental: Yasmina Khadra, avec "l'attentat" et "les hirondelles de Kaboul"... J'ai mis du temps avant de me lancer dans cette lecture, car de prime abord la couverture ne me branchait pas, tout simplement. Forte de ce blocage, le livre est resté sur les étagères, esseulé, pendant plusieurs mois, jusqu'au jour où j'ai bravé la première de couverture pour creuser l'intérieur et finalement je n'ai pas été déçue.

clepsydre contre vents et marées

Et voilà, des mois écoulés depuis les derniers mots inscrits sur ce blog... Où comment le temps s'abat inexorablement sur nos vies et notre quotidien se retrouve submergé par cette inéluctable affolement des aiguilles d'une pendule... Tic tac, tic et tac... Et voilà plusieurs mois que j'ai rejoint le club des heureux privilégiés qui ne paieront plus pour avoir fait un trou dans le mur en rendant leur logement! D'ailleurs j'ai passé du temps à en reboucher pour obtenir un résultat assez satisfaisant pour accueillir la cuisine que M. Schmidt m'a confectionnée dans ses usines de l'Est de la France, m'octroyant ainsi le luxe de posséder enfin d'un vrai espace qu'on appelle cuisine!! Bon moi c'est pas Valérie Damido, je ne suis pas la pro de la peinture et des mélanges de couleur inexploitables au quotidien.....En même temps, je n'avance pas bien vite, une sorte d'escargot du bricolage, pas au point, pour imager....pas grave, rien ne press...

du rock en stock

Une fois n'est pas coutume, le grand Hall des expositions de Tours accueillait vendredi dernier une star internationale de la chanson , j'ai nommé Lenny Kravitz. Munie de mon pass, depuis plusieurs mois, cet événement attendu me permit d'apprécier un show aux accents de rock star! Première partie oblige, un certain Chris Cornell devait assurer, pour chauffer la salle. Chose promise chose due, celui qui fut l'interprète de la B.O. de Casino Royale (l'avant dernier James BOND), avec son titre "You know my name", est apparu sur scène, cheveux longs, rockeur , assurément, avec des tonalités qui déménagent devant une salle plutôt tiède, voire carrément coincée... Que n'ai-je pesté contre de jeunes âmes, campées sur leurs grandes jambes, bras croisés, impassibles telles des statuettes de marbre devant un écran de tv... Paraît que les Tourangeaux sont snobs et froids, n'en déplaise à la légendaire impression des étrangers du coin, la vérité criante fut un...

feuilles aux arbres, aux bonnes feuilles des livres

Quelques temps sans faire jouer les lettres sur le clavier pour alimenter le blog! Les mots virevoltaient ailleurs que devant un écran de Mac... et forcément le manque d’entraînement cause un manque de dextérité pour aligner de manière fluide le post qui suit. du retard accumulé en termes d’impressions données par des lectures ces semaines passées... Retenu parmi les derniers livres ouverts: Arto Paasilinna, auteur de “Prisonniers du Paradis”, un finlandais, au roman croustillant dont j’ai beaucoup apprécié la rythmique et le thème. Le synopsis donne à peu près ça: un avion fait un amerrissage forcé tout près d’une île. Ou comment cohabitent hommes et femmes dans une jungle, Robinson et Vendredi ou comment une micro société se reconstitue, ou comment une organisation est créée avec des priorités qui ne sont pas les mêmes pour tous, comment une situation se gère dans l’urgence et comment elle peut devenir pérenne. Ou comment certains sont pressés de retrouver leur monde, la “civilisatio...

comm' d'avril

Ah mais c'est que le mois d'Avril a pointé son nez... et quoi, rien d'écrit? Commencé un philip Dick mais pas réellement dedans, à cause d'une saleté de lumbago qui est venu pourrir mon enthousiasme du moment. Alors entre les medocs et ma maigre résistance aux anti inflammatoires, le bouquin est resté bouche bée près du "me réveille pas le matin"!! Et puis le mois d'avril, c'est aussi le développement des pollens et autres allergies... alors, les éternuements et autres chatouillements des yeux , du pif ont pris d'assaut la sentinelle, pas un rhume des foins, juin en son temps pour faire le point. Mais à part ça tout va très bien comme dit la ritournelle, d'une Marquise...

la femme coquelicot

Du titre de ce petit roman, d'environ 150 pages, une fleur teintée de rouge vif émerge. La femme coquelicot a été écrit par Noëlle Châtelet, née à Meudon en 1944, professeur de sciences humaines à l'Université de Paris V, et épouse du philosophe François Châtelet,décédé en 1985. En quelques heures de lecture, l'auteur nous transmet un message empli de douceur: elle révèle au grand jour l'amour de personnes d'un certain âge. Son héroïne de 70 ans, Marthe, rencontre l'amour en la personne de Félix de dix ans son aîné. Avec pudeur et grâce, elle dévoile les sentiments des protagonistes l'un pour l'autre et la manière de vivre ce sentiment au crépuscule de leur vie. Elle met également en avant, la façon dont l'évènement est perçu dans le cercle familial. Tous vont assister à la métamorphose de Marthe, comment cette fleur va s'épanouir et se transformer en cette femme coquelicot. Tout en délicatesse, Noëlle Châtelet a mis en scène le scénario et décor...

les chiens aboient la caravane passe...

Caravan Palace, ou l’art de manier électro et jazz manouche. Concert de ce jeudi soir au Mans, petite salle avec une bonne acoustique, sans rillette( je ne pouvais pas l’éviter celle-là...pour info hub’ je sais pas si tu connais mais la salle où nous sommes allés, s’appelle les Saulnières!) Un spectacle hyper vivant, chaud, de la dynamite!!! J’ai adoré, c’est extra... et ça sort des sentiers battus! j’en reprends à la louche 2 heures de vie, un vrai show, ils ont la patate chez Caravan Palace! A découvrir absolument pour tous ceux que les genres musicaux variés ne rebutent pas, pour tous ceux qui veulent s’amuser, cette musique envoie, c’est festif à souhait! Il va sans dire que j’ai passé une excellente soirée, en bonne compagnie qui plus est, j’en suis donc enchantée! Merci les p’tits loups! Et puis la première partie a été assurée avec brio pendant une heure environ, par un groupe dont le style musical était tout à fait honorable et rares sont les premières parties qui réussissent ...

erreur de script

Une villa achetée, une lambo' offerte... cherchez l'erreur ... http://fr.cars.yahoo.com/23032009/321/une-villa-achetee-une-lambo-en-cadeau-0.html Je n'ai pas vu dans mon compromis une voiture offerte:-( avec mon appartement !!!

t'as pas 4 Millions?

Lu "le dernier des Weynfeldt" de Martin Suter, auteur dont j'ai eu maintes fois l'occasion de parler, puisque j'ai lu un bon nombre de sa production: de small world, en passant par lila lila, le diable de milan... Les éditions christian Bourgeois présentent en 2008, cette nouvelle couverture d'un tableau de Vallotton*, intitulé "Femme nue de dos accroupie devant une salamandre", 1900, pour illustrer le roman de l'écrivain suisse, qui cette fois nous transpose dans l'univers du monde de l'art. * http://www.lemondedesarts.com/Dossiervallotton.htm Adrian Weynfeldt, expert en art, richissime descendant d'une famille zurichoise, fait la rencontre d'une étrange inconnue Lorena dont les destins seront désormais liés. Avec subtilité et finesse, comme à son habitude, Suter distille son histoire au compte goutte, projette ses lecteurs dans les méandres du marché de l'art, ses rouages jusqu'à l'ultime vente. Sans doute n'y ai...

FREE FREE FREE

Ce soir, j’avais décidé de vous parler du film “It’s a free World” de Ken Loach, vu quelques temps plus tôt. Ken Loach est un presque un génie. Il a le chic pour travailler sur des thèmes très variés mais surtout de toucher son public à travers des thèmes très forts. Moi qui avait été très impressionnée par le vent se lève, il m’était donné de continuer l’aventure avec ce réalisateur et entre autre avec ce film d'actualité. Cette fois il nous transporte dans un Royaume-Uni qui accueille les Européens de l’Est, pour travailler. Différents thèmes imbriqués les uns dans les autres nous font découvrir à la fois le travail clandestin, la difficulté de créer son entreprise de surcroît quand on est une femme, sa crédibilité dans sa fonction professionnelle et sa vie de mère. Dans ce début des années 2000, le monde des travailleurs émigrés, recrutés dans les aéroports en partance vers l’Ouest, sont prêts à tout quitter pour un monde meilleur, n’osant s’imaginer le sort qui leur sera réserv...

3,2,1 Partez!!!

Et oui, le valéthon peut désormais véritablement démarrer!!! A vos marques, prêt, feu! Partez...... Ce soir ma proposition d'achat a été acceptée:-)))) Signature du compromis samedi matin!!! Eté sous un nouveau toit! Bye à tous et toutes ps : allez l'important dans le Valéthon c'est de participer, même si personne ne gagne!!! Votre soutien moral , votre sourire, seront d'ores et déjà une satisfaction!!!

valéthon

En course pour le valéthon! Ah vous ne connaissiez pas cette manifestation? Désormais vous ne pourrez plus l’ignorer... La démarche est simple et constructive. Si vous souhaitez aider val’ à compléter sa cagnotte pour qu’elle puisse acheter un toit, pour éviter qu’elle ne dorme sous les ponts, il est fait appel à votre générosité et à votre coeur pour vous délester de quelques euros et faire une heureuse:-) Le sourire est au bout de cette phrase. Le valéthon propose donc de verser un don à cette maladie qui sévit chez certaines personnes, celles qui souhaitent accéder à la propriété et dont les finances sont un peu justes pour boucler leur projet. En l’absence de gain au loto, malgré une tentative ce vendredi 13, en l’absence de fortune familiale, en l’absence de caissette remplie d’ors au fond de la cave, en l’absence d’un compte en banque en Suisse, et pour toutes ces bonnes raisons, un appel est lancé ce soir! Le valéthon vous permet de faire une bonne action. Cette bonne action vou...

Belle de Mars impression soleil couchant...

En cette belle journée, exit l'hiver, le printemps a revêtu sa belle couleur et la chaleur du soleil inonde les coeurs. Avec une petite semaine d'avance sur le calendrier, les cerveaux mettent de côté froid et cache col, pour rêver de roulis et ressac... La neige fond, les rivières grossissent et les fleurs sortent leurs parures de terre, jonquilles et tulipes exhalent un parfum de renouveau tandis que les oiseaux piaillent de douces romances à nos fenêtres. Dès cet instant, mon âme vagabonde et me reviennent l'envie de partir vers les zones iodées. Etonnante migration et adaptation de nos organismes, janvier synonyme de la neige, l'appel de la montagne et dès qu'un rayon de soleil vient réchauffer la peau, le littoral fait de l'oeil... En moi la douce rêverie d'ouvrir une fenêtre sur cette univers indéterminé, renfermée physiquement dans une pièce devant mon macbook mais l'esprit libre et fécond, faisant voltiger mes doigts sur les travaux d'écritu...

intermede musical de Mars

Nouvelle escapade en Chatod’ô et nouvelle écoute de Joseph d’Anvers. Petite ambiance dans petite salle, très peu de monde, concert ultra intimiste, étonnant et déroutant, devant l’absence d’ambiance. La première partie était assurée par un duo guitare et basse, textes chantés par Clarys. Belle difficulté à s’immerger dans l’univers, mais au fil des morceaux, le ton est donné et les quelques mélodies de la fin sont passées assez agréablement à l’oreille. En revanche, de la voix au texte, le décalage avec la musique dérangeât. Et puis l’attente fut si longue, que la patience a des limites que le commun des mortels admet avec parcimonie. Quoique affichée pour 20h30, la première partie fut programmée bien plus tard, à croire que hier soir ils avaient tous un décalage horaire. C’était peut-être lié aux coiffures: Clarys avait soigneusement attaché ses cheveux, soit elle a cherché vainement dans Blois un peigne, soit elle s’était endormie avant. Quant à Joseph on l’a soupçonné d’avoir fait ...

po-êtes-vous là?

printemps, prématuré, certes, nonobstant, quinzaine des poètes, expression littéraire et fantaisie, hommage à Tardieu, celui qui, se distingua au théâtre comme en poésie, hommage avec extrait assorti: “Dépêche-toi de rire il en est encor temps bientôt la poêle à frire et adieu le beau temps d’autres viendront quand même respirer le beau temps c’est pas toujours les mêmes mais y a toujours des gens sous le premier empire y avait des habitants sous le second empire y en avait toujours autant même si c’est plus les mêmes tu t’en iras comme eux tu t’en iras quand même tu t’en iras chez eux c’est pas moi c’est mes frères qui vivront après moi même chose que mon grand’père qui vivait avant moi même si c’est plus les mêmes on est content pour eux nous d’avance on les aime sans en être envieux dépêche-toi de rire il en est encor temps bientôt la poêle à frire et adieu le beau temps...” Rengaine pour piano mécanique, 1951. Si Beidbeger a décidé de se déconnecter de facebook, j’ai le sentiment d...

coup d'pouce

Le titre de ce post n'a pas l'ambition de plagier les affiches publicitaires d'un organisme bancaire, ni de jouer les esthéticiennes au vernissage parfait... Appuyer sur le bouton afin d'éclairer votre lanterne! Depuis pas mal de temps, j’avais prévu de vous parler d’un jeune artiste que je connais. Quand j’eus le projet de créer une galerie d’art, j’avais pensé notamment à lui et à toute une pépinière d’artistes pour débuter la saison. Le projet est tombé à l’eau, car mes petites économies auraient succombé trop rapidement à l’hémorragie des charges , bail commercial etc... je vous passe le désastreux tableau des comptes négatifs... Ce doux rêve prendra tournure, le jour où: soit j’aurai gagné à euro millions (dites les filles, c’est quand que vous sortez les bons numéros le vendredi :-))))!! ) soit j'aurai épousé un riche mari, qui m’offrira une galerie par philanthropie et pour l’amour de sa dulcinée, soit euh, je n’ai plus de cartouche sérieuse, pour réunir tou...

pas sefyu hip et hop...

Vous connaissez le slam, et vous connaissez sans doute celui qui lui est associé: Grand Corps Malade. Dans son dernier album, “Enfant de la ville”, il a écrit de forts jolis textes. Joli n’est pas l’adjectif dont je raffole, mais mon humeur me porte à l’employer ce soir , quoiqu’il en coûte! Celui qui m’amuse le plus, porte le titre “l’appartement”, il est en avant dernière position de la liste. Il est frais, badin, léger et si réaliste, que chacun peut imaginer aisément la scène qui se déploie au fil des lèvres de son auteur. http://www.youtube.com/watch?v=REqImjlUeIM le clip un petit régal! Même le dernier titre a une saveur, qu’on ne recense pas à la première écoute: “du côté chance”. Sur les pochettes, vous avez toujours les mots de remerciements, cette fois ils sont formulés en slam. Bon je vous passe des textes forts, les débuts sonnant comme des refrains connus, et puis si toutes les cellules grises se coordonnent pour écouter, plus loin, le discours est plus fin, parfois frisan...

caricaturage

Vous l'avez reconnue cette caricature? Plutôt très facile, et si c'est le cas, ne vous fait-elle pas penser à une autre personne, autre nationalité, autre âge... Divertissement du soir, bonsoir !

mandela

Vu goodbye Bafana... J'avais oublié de vous en parler. Bon ce n'est pas du grand cinoche, un peu mélo, même, mais sympathique au demeurant. Moi qui n'arrive plus à me concentrer devant l'écran de la TV allumé, j'ai tout regardé sans broncher, signe qu'il était plutôt pas mal finalement. Bon je supporte vraiment pas la violence, quand on voit des africaines de peau noire se faire tabasser parce qu'elles n'ont pas de visa pour circuler... ça me fait bondir... ! Et l'injustice aussi, bon je suis trop utopique, ça rejoindrait presque la naïveté, mais bon j'ose le dire quand même, j'assume! Je sais pertinemment que l'Homme n'est pas franchement bon, et que la castagne fait partie de la Vie. Autrement pourquoi l'Homme serait-il un loup pour l'Homme? L'histoire tourne autour de la relation qui se noue entre le geolier joué par Joseph Fiennes et Mandela (Dennis Haysbert). Entre un gardien de prison raciste, dans une Afrique du S...

Leonard toujours et encore

Ah Léonard, tu fais toujours parler de toi, malgré ta disparition remontant au début du XVIème siècle, tu suscites de l'intérêt. Quel fabuleux personnage tu es. En témoigne, cet article: http://www.lemonde.fr/culture/article/2009/02/23/un-possible-portrait-de-de-vinci-decouvert-en-italie_1159406_3246.html#xtor=RSS-3208 Parait que ce serait un de tes auto-portraits découvert dans un petit village du Sud de l'Italie, Acerenza. Et même si erreur il y a sur l'identité du bonhomme, tu seras qui que tu sois, exposé dans une galerie italienne, Vaglio, qui aura pour thème Léonard de Vinci! Bel hommage, pour cette toile demeurée dans l'ombre d'une famille privée, pris pour une copie au départ, tu serais finalement bien un original de la Renaissance. Pléonasme, puisque tu vas renaître à la lumière d'ici peu. Combien de paires d'yeux scrutateurs vont te dévisager chaque jour, experts, amateurs ou simples visiteurs...

Impardonnables

IMPARDONNABLES Tel est le titre très évocateur du nouveau roman de Philippe Djian. Après sa série Doggy bag, dont je n’avais pas réellement apprécié la teneur, ce nouvel opus a retenu toute mon attention. le style n’est plus tout à fait le même, le ton lui-même a évolué. Moi qui avait peur d’en avoir irrémédiablement fait le tour, je suis agréablement surprise. Cette fois Djian reprend le personnage de l’écrivain qu’il est, avec l’âge qu’il a, ou presque, le pays basque en toile de fond avec une étrange disparition qui le rend exsangue. Francis, c'est ainsi qu'il est nommé, ne s'est remis que difficilement de la tragique mort, dans un accident de voiture, de sa femme et de sa fille aînée, et, cette fois, c’est la disparition inopinée de sa cadette qui le met à l’épreuve. Sans aucune nouvelle, il se demande si la mort a frappé ou si une quelconque demande de rançon va un jour être formulée. Voilà comme un équilibre fragile peut vite tomber...Lui qui croyait avoir construit...

merveille

Des racines et des ailes nous transportent en Corse. Quel bonheur de revoir la réserve de Scandola, le fort de Girolata.... (admirez la preuve en image!)le bleu de ces eaux, ces roches ... De beaux souvenirs qui émergent à nouveau, plaisant flashback qui donne des fourmillements! Paysages et patrimoine défilent, c'est majestueux et grandiose à la fois. L'île de beauté n'a pas à rougir de son surnom, bien au contraire! Pace et salute!

B&W : un must

Cliché de cette force naturelle: l'Arbre dans toute sa splendeur. Force de la nature qui endure tous les frimas et qui ne dit mot pour qui l'ignore!

3 en 1

Petit florilège des dernières lectures, un savant mélange, d’auteurs européens et américains: D’abord l’incontournable Russel Banks, puis l’italienne Milena Agus et enfin le célèbre français déjà maintes fois cité ici, Jean Teulé. 3 histoires différentes, 3 registres littéraires particuliers, et finalement un point commun entre les trois : la solitude et la mort qui rôde. Entre “Sous le règne de Bone”, “Mon voisin” et “les lois de la gravité”, existe une ligne directrice: l’errance. Reprenons. Banks présente une sorte de road movie, où le jeune Chappie, alias Bone, ado au mal-être indéniable, apprend la vie au contact de marginaux dans un périple au-delà des frontières US. Sorte de parcours initiatique, le jeune garçon sortira grandi de cette période de sa vie, riche en expériences illicites, forte en émotions en tous genres, en rencontres toutes aussi surprenantes que les autres et forgeant le caractère. Tout débute dans une bourgade où Chappie découvre les joies de la fumette. Pour s...

de la philo chez Esprit

Juste un petit mot ce soir, rapport, à mon activité principale hier. Derrière moi, les agences immobilières du vendredi soir, du samedi, des reflexions entendues, je fais un devoir, de vous en rapporter la teneur! Déambulant de ci de là , lentement et sans précipitation aucune, je me baladais quand, entrant dans cette enseigne Esprit, je fus prise d'intérêt pour la grande discussion qui animait la "tenancière" (rapport à la tonalité de sa voix, poissonnière au milieu des fringues) et une de ses clientes. Très instructive pensée philosophique qui portait sur la morosité des enfants d'aujourd'hui, ils ne sont pas optimistes parce que leurs parents leur renvoient cette image tristounette...ils ont perdu leur innocence dans ce monde de brutes, et encore, allons crescendo: "vous comprenez, ma filleule, elle a regardé l'émission machin chose sur la Planète en 2075, et elle a pleuré en voyant ce qu'était l'avenir"... blablabla, quelle image du mond...

photo stylisée

Bah, oui quoi le liseré rose, sur les photos, c'est chié,non? (et la couleur du texte est assortie pour l'occasion) Cela dit la pris est belle, elle me sied! ........................................................ Trève de plaisanterie, ce soir je suis retournée visiter des logements, toujours en quête de mon futur logement , où je ferai tout ce qu'il me plaira, sauf que j'aurai plus de tune pour y faire quoi que ce soir:-) ou :-(... Cette fois, pas de publicité pour un appartement qu'aurait squatté un nom connu..., des genres très différents, du 46 m2, bien agencé , très récent, mais trop petit pour moi désormais! Non mais! Un 55 m2 dans une résidence vieillotte, où j'avais décrêté ne pas y remettre les pieds après une viste rebutante dans l'été, et finalement pas si nul, sauf que l'emplacement me déroute un peu, m'éloignant de mon objectif et puis la dernière visite, un spacieux 80 m2, près de mon quartier actuel, qui correspond plus à mes attent...

quoi de neuf sur Terre?

Un petit tour sur le blog, faut le nourrir pour ne pas le voir dépérir comme les plantes que je n'arrive pas à maintenir en vie: je n'ai pas la "main verte", tout juste pour les cactus! Le blog a plus de chance, écrire, parler, ça me connaît davantage, pas besoin d'engrais, ni rien dans ce domaine! Quoi de neuf depuis le dernier post? Et bien dans la série retour de vacances, en cette période de l'année, je suis allée faire une virée dans nos beaux massifs alpins, dans une petite station, juchée à 1550mètres au-dessus de Modane. Et oui, de la vallée de la Maurienne, je ne saurai me lasser. La station en question est Valfréjus, car elle est juste à côté du tunnel du Fréjus, qui permet de traverser la frontière italienne et d'atteindre aisément Torino, la capitale régionale, connue pour ses sportifs en short, de ceux qui courent derrière un ballon rond, vous voyez le trip? Bon, il est question d'une station, montée de toute pièce, pour la vallée encaissé...

brève

Comme son nom l'indique, il est question de brève de comptoir: et prendre l'escalier, muscle les mollets, le fessier, exerce le rythme cardiaque, pour le reste...

saga sans Bern!

Qui dit qu’un monde sans fin, ne se lit pas jusqu’au bout? Après 1286 pages, le point final met un terme à la saga médiévale de cet auteur qu’est le romancier Ken Follett. Nous sommes en présence des héritiers des bâtisseurs des cathédrales et nous évoluons au milieu de cette Angleterre du XIVème siècle, au sein de la ville de Kingsbridge. Il est véritablement question d’une saga qui s’écoule entre 1327 et 1361 et le nombre de pages laisse présager du nombre incalculables de rebondissements incessants et de plus en plus prévisibles en avançant dans le déroulement de l’histoire. Malgré la qualité d’écriture, et le sens de la mise en scène, le lecteur peut s’essouffler quelque peu. Pour ma part, je n’ai pas ressenti la même vitalité que dans "les Piliers de la Terre". Il semblait difficile de relever le défi de poursuivre avec autant de densité dans un second volume. Au bout de longues soirées hivernales, plongée dans ce monde de marchands, de religieux affrontant les aléas de ...

selogerpointcom

Tiens ça me change, je ne suis pas sur la page de seloger.com , pour ce soir j’ai délaissé les annonces immobilières pour venir vers vous alimenter un peu ce blog flemmard pour débuter 2009. Vous étiez prévenu! Pas une minute à perdre depuis une petite quinzaine, je déambule de rues en rues, de visites en surprises, en quête d’acquisition. Tel était mon objectif en partant de la région parisienne, où les tarifs prohibés du M2 feraient rougir les poissons rouges dans n’importe quel bocal. Je profite d’une soirée calme, pour vous conter ici les derniers événements de ces quelques jours écoulés! Tout est parti d’un mail d’un professionnel du secteur, pour envoyer ses voeux et reprendre le flambeau des recherches stoppées pour éviter de faire un achat précipité, prématuré et irréfléchi. Encore que, quoi qu’on fasse, il existe toujours des zones d’ombre qui font hésiter, et qui risquent de faire échouer la tentative. C’est comme tout, faut se jeter à l’eau. En cette saison, mieux vaut l’eau...